Le lendemain, un peu avant midi, je sors lentement de mon sommeil. Je tourne la tête, Alex est déjà réveillé.
- y'a ton père qui râle.
- pourquoi ?
- je sais pas, j'ai pas bien entendu.
Je tends l'oreille, ils sont trop loin pour entendre ce qu'ils se disent.
On remet nos maillots et on sort pour savoir ce qu'il se passe.
Ma mère nous accueille avec un sourire.
- bien dormi ?
- ouais !
Mon père, un peu plus sérieux :
- tu n'as rien à me dire ?
- quoi ?
- qu'est-ce que vous avez fait cette nuit ?
Putain ! On s'est fait remarquer ?
Je ne sais plus quoi dire.
- allez, tu crois que je suis con?
Ma mère prend notre défense.
- oh ça va, tous les jeunes de leur âge font pareil maintenant.
Je voyais bien que mon père n'était pas en colère mais un peu déçu.
Je rappelle qu'à cette époque, le fait d'être Homo, c'était la honte et un délit pouvant mener à la prison. Mais on était mineurs.
Je ne pensais pas être homo, juste que je me suis vidé les couilles.
- t'as pas fait pareil à leur âge ?
- j'ai attendu d'avoir 18 ans pour avoir ma première cuite.
Ouf! Il parle des bières qu'on a piquées.
J'explique qu'on les a prises le temps que nos maillots sèchent. Comme ça, ils penseront qu'on a dormi habillés.
Puis je vois un courrier ouvert.
France Telecom qui disait qu'on viendrait le mercredi suivant, dans la journée, installer la ligne de téléphone. En plein milieu de semaine, alors que mes parents sont au boulot. C'est ça qui faisait râler mon père, pas les bières.
On était fin juin, donc plus rien d'important à l'école.
- si tu nous laisses un peu d'argent de poche, on peut rester.
- tu perds pas le nord, toi !
- ouais, on demande à mes parents s'ils sont d'accord et je reste avec lui !
Quelques minutes pour le convaincre puis on va en ville appeler les parents d'Alex qui finissent par accepter.
On fait les courses pour la semaine et rentre remplir le frigo.
- il reste une vingtaine de bières, vous en avez assez.
Avec un sourire
On se tient à carreaux jusqu'au départ de mes parents dimanche après midi.
Comme tous les jeunes, ont fait bien semblant de se toucher les fesses et d'autres jeux innocents.
Quand ils sont partis, ils nous ont laissé 50 francs chacun, c'était beaucoup pour l'époque.
Une demie heure, après leur départ, donc pratiquement à la maison, Alex se fout carrément à poil sous l'eau. Je fais pareil mais sans arrière pensée.
On s'amuse comme des gamins et à moment, Alex me serre entre ses jambes et ses bras.
- on le fait dans la piscine ?
- t'es fou? On pourrait nous voir !
- allez !
En fait, personne ne pouvait nous voir, sauf en hélicoptère ou en avion.
Il m'embrasse sur la bouche, puis colle ses fesses contre mes parties, ainsi de suite à plusieurs reprises.
A force, il réveille ma libido.
J'arrive à le pénétrer, mais juste de quelques centimètres.
Je me dirige vers le côté où j'avais pieds pour mieux m'en occuper.
Il s'allonge et je le tiens sous la taille pour qu'il soit à la bonne hauteur.
Son poids et le fait que l'eau me freine dans mes mouvements font que je fatigue vite.
- j'en peux plus ! C'est crevant !
Il se tourne et se met debout contre le bord de la piscine.
Je le prends debout, ses coudes sur le rebord, les jambes bien écartées et les reins bien cambrés.
Je le tiens par la taille et lui fait faire les mêmes mouvements que moi.
C'est pas facile dans l'eau, mais la situation me plaît.
Je finis par le remplir de mon jus en l'écrasant contre le bord.
Essoufflé, je monte m'allonger sur le carrelage.
Il me rejoint et s'allonge à côté.
- j'ai pas éjaculé, moi !
Je jette un oeil, il bande encore.
Tant pis, je lui fais une pipe.
Au moment où je sens qu'il va cracher, juste avant que je me retire, il me retient par la tête.
Allez ! Il l'a déjà fait pour moi.
Je prends tout dans la bouche.
Il ne me lâche pas.
- avale !
- mmmmm
- vas-y, avale !
Une hésitation, puis il l'a bien mérité.
- t'es un salaud!
Il me roule une pelle puis,
- je t'aime !
- hé, ho ! On est copains !
- un peu plus, non?
Je l'aimais bien, mais comme un pote, pas comme si c'était ma fiancée.
Mais il avait raison, d'une certaine façon. Personne ne m'a fait autant plaisir.
Je l'attire par la nuque pour lui refaire une pelle.
- personne ne doit savoir à quel point on s'aime.
Quelques bécots de plus puis on rentre prendre une bière sur la terrasse.
Après manger, on retourne faire un dernier plongeon sans jeux cochons.
On décide de dormir dans le lit de mes pa ...
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