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Vendredi 25 juin 2015, après-midi au miroir des hommes.

Publié par : hsmur le 03/08/2022

Cela faisait déjà quatre ans que je n'étais pas revenu dans ce sex-shop du centre ville de Tours. Je savais que le patron avait changé, en fait, c'était le fils qui avait repris l'affaire et qu’il y avait toutes les chances que ce soit bien plus sympa que sous le père, vieux ronchon, peu aimable, dont on aurait pu se demander comment il avait fait pour être commerçant ?

Pour l'heure donc, je franchis le seuil et entre dans un magasin clair, plutôt pas mal décoré et suis accueilli par un grand sourire du vendeur. Je prends une entrée pour le permanent et entre avec deux capotes et deux petits réservoir de gel en poche que je viens de percevoir avec le ticket d'entrée.

Les lieux ont vraiment bien changés, plusieurs petites salles fermant à clef, 2 salles plus grandes de 5-7 places, un couloir caché derrière une sorte de rideau en feuille synthétiques, cachant quatre toutes petites pièces pour deux personnes, à mon avis, et très sombres.

Je tourne dans le lieu, visite aussi les toilettes, très propres d'ailleurs, ce qui n'est pas toujours le cas dans ce type de lieu. Dans les toilettes fermées, il y a même une douchette pour faire un lavement.

Après avoir pas mal déambulé pendant une bonne demi-heure, regardé ça et là ce qu'il se passait, mais rien de vraiment excitant n'était en cours. Puis, au fond du couloir principal, je vois un mec dans l'embrasure de la porte et j'entends de gémissements qui ne viennent pas des écrans. Quand je m'approche, le mec devant la porte se sauve comme si il avait peur que je le reconnaisse ou je ne sais quoi.

J'entre à moitié dans la petite pièce, un travesti est à 4 pattes sur le canapé, un monsieur, dans la cinquantaine, est derrière son cul à le fister. Je m'enhardis à caresser les fesses de l'homme pour lui donner du courage et pour qu'il aille plus loin encore dans son geste et l'homme se met à onduler des hanches pour m'inciter à aller plus loin dans mes propres caresses.

Bientôt, j'introduis un doigt dans l'anus de l'homme qui a maintenant les deux mains jointes dans l'anus du travesti. Puis j’introduis un deuxième doigt, suivi bientôt par un troisième, le tableau devient alors, moi qui doigte copieusement le cul d'un mec debout au cul d'un travesti qu'il est en train de fister à deux mains.

Cela dure quelques instants, puis le travesti bouge et cherche à se dégager de son fisteur, j'en profite pour retirer mes doigts et repartir un peu plus loin, mais avant tout, direction toilettes pour me laver les mains.

Je tourne et vire dans ce dédale de petits coins et de petites salles obscures. Je finis par m'installer devant un film dans lequel deux grands blacks avec de très gros sexes enculent de jolies femmes, plus toutes jeunes, mais encore bien conservées. Seul, je commence à me caresser à travers la fine étoffe de mon short. Puis un premier type vient dans la petite salle et s'installe à l'autre bout de la banquette, sans me soucier de lui je continue à me branler doucement, bien pris par le film.

Un autre personnage entre alors dans la petite pièce qui ne ferme que par des rideaux faits de bandes de perles en plastique transparent. L'homme, plus âgé que moi, devait attendre et observer depuis quelques minutes sûrement. Il vient s’asseoir à côté de moi, et semble beaucoup s’intéresser à ma braguette.

Quelque peu gêné, surtout par la présence de l'autre homme, je me lève et sors de la pièce pour reprendre mes pérégrinations dans ce dédale.

Quelques minutes plus tard, la pièce que j'ai quitté est à nouveau vide, mais je ne me ré-installe pas devant le film, je continue à me balader. Mes voisins précédents sont ensemble dans une autre petite pièce, visiblement l'homme le plus âgé s'occupe du cul du premier mec, mais je ne reste pas et vais m’asseoir devant un film dans une toute petite pièce avec une banquette juste pour deux.

Je me souviens que, quelques années auparavant, je venais dans ce sex-shop et me mettais nu en attendant la venue d'un mec, n'importe lequel, trop heureux de me faire sauter. En ce temps-là, j'avais bien 30 kg de moins qu'aujourd'hui. Je me laisse aller à la rêverie tout en regardant le film d'un œil distrait, je me dis que je pourrais, peut-être, refaire ce que je faisais cinq ans plus tôt en me mettant nu.

J'en suis là, entre rêverie et souvenir, vision d'un film de cul banal, dans une petite pièce, quand je m'aperçois que l'homme âgé est maintenant dans l'embrasure de la porte. Qu'est-ce qui me pousse, je n'en sais rien, toujours est-il que je m'enhardis à porter ma main gauche sur sa braguette.

L'homme ne perd pas de temps et ouvre sa braguette, plonge une main dans l'ouverture et ressort son sexe. Puis il retire sa main et me laisse avec son sexe en main.

Je me mets rapidement à quatre pattes devant le type et prends son sexe en bouche et commence à le sucer lentement. Il fait trop chaud pour une pipe infernale, faite sauvagement !

L’homme, dont je ne connaîtrai jamais le prénom, d'ailleurs, entre dans la pièce et referme la porte pendant que je continue à le sucer. Puis il dit :

- Attends, on va se mettre à l'aise !

L'homme défait sa chemisette, il porte un t-shirt en dessous, un short un peu plus long que le mien et un slip, mais pas de chaussettes dans ses chaussures. Il place ses vêtements à un petit crochet.

Moi, je suis habillé plus "pratique", je n'ai pas de paterne, aussi je roule en boule mon polo et mon short que je retire prestement, une fois déchaussé. Je garde mes chaussettes courtes et je mets la boule de vêtements au fond de la banquette.

Le type me demande gentiment de me mettre à quatre pattes sur la banquette, ce que je fais instantanément. Il m'écarte alors les fesses et commence à me faire entrer un doigt dans l'anus. Il sait s’y prendre ce vieux cochon. Bientôt, il retire les doigts et me met à la place sa langue, c'est délicieux !

Maintenant, il me roule des pelles dans le cul ! Appelée aussi "feuille de rose", la caresse est divine, mais je ne suis pas totalement à l'aise, car pour une fois je n'ai pas eu le temps de faire un bon lavement avant de venir !

Bientôt l'homme passe sa main entre mes cuisses écartées, tout en continuant à me fouiller le cul de sa langue experte et vient me prendre la queue pour me branler doucement.

Je suis à quatre pattes, sur les coudes, le type a sa langue dans mon cul, d'une main, il me branle et de l'autre, il me triture délicieusement la poitrine, j'ai l'impression d’être une salope aux lourdes mamelles qui se fait traire !

Le salaud veut me faire jouir, d'ailleurs il le dit :

- Laisse-toi aller, jouis, mon cochon… !

Très étonnamment, je n'ose pas ! Je porte ma main à ma bite pour recueillir le foutre et éviter d'en mettre partout, d'où me vient cette subite gêne, je ne sais pas, ma ...

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Mots-clés : Gay, Branle, Fellation, Mûrs