Depuis plusieurs jours, Francis m'avait demandé si je ne pouvais pas venir le retrouver avec un autre coquin. Au départ, j'avais pensé à des coquins avec qui je conversais depuis plusieurs jours et qui venaient en cure en accompagnant leurs femmes et ayant un peu de temps libre. Mais comme ce temps serait très limité , j'ai toute de suite plutôt pensé, de préférence, à quelqu'un que j'apprécie beaucoup et avec qui j'ai eu plusieurs rencontres très chaudes . Le seul problème c'est qu'il est un peu éloigné de chez Francis mais que je lui avais déjà présenté en photos et cela l'avait séduit. Simplement il fallait qu'il puisse se libérer. Toujours le même problème. Mais après divers échanges, Henri semblait ok et il n'y avait plus qu'à mettre en place le lieu des retrouvailles. Donc lieu de rencontre prévu très vite pour que je l'emmène ensuite chez Francis. Ce fut 13H30 à la sortie des quatre voies et go, il monte dans ma voiture, sans problème, pour aller à destination.

En cours de route, nous entamions la conversation sur divers sujets et ma main allait glisser vers sa cuisse, histoire d'une entrée en relation très chaude comme à mon habitude Et lui de me répondre qu'il ne fallait pas que je confonde avec le levier de vitesse. Lol. En à peine une demie heure nous arrivions dans la ville de mon élu. Appel téléphonique à Francis pour qu'il se prépare et nous laisse la porte ouverte comme à chacune de mes venues. Et je savais comment j'allais le retrouver, sur son lit, couché sur le ventre et son corps à ma disposition comme toujours. il voulait être notre lope, quoique je n'aime pas cette dénomination. Après avoir fermé à clé la porte après notre passage, nous montions les marches très rapidement des deux étages qui nous séparaient et j'allais glisser ma langue dans la chatte de Francis en guise de baiser de bienvenue comme il aime. Bonjour bb, lui dis je et ma main aller câliner son dos . Il poussait quelques grognements de plaisir. Il était à moi.

Henri avait déjà retiré ses vêtements et s'était glissé contre le corps de Francis pour lui accorder le premier baiser brûlant . J'en profitais ma mon tour pour me dévêtir. Et très vite je me jetais sur leurs deux corps pour leur accorder des caresses en signe de bienvenue . Je goutais au sein gauche de Francis car je sais qu'il adore . Ca l'excitait un max. Mais voyant leurs deux corps ne pas se quitter , j'allais les contourner pour me diriger vers la chatte d'Henri, qui s'ouvrait sans peine à ma langue , la mouillant quelque peu pour y glisser un doigt. Henri étant tellement grand, ses jambes pendaient au bord du lit. Alors après cette douceur , j'allais me coucher sur lui pour faire sentir à sa chatte , mon gland , sans véritablement le pénétrer mais pour sentir la chaleur de son corps. Puis leurs bouches allaient se quitter pour permettre à Francis d'aller sucer la magnifique queue d'Henri qui avait des proportions plus importantes que les nôtres. Et moi d'aller chercher celle de Francis qui se raidissait au contact de ma bouche. Elle s'humidifiait sans peine, tant l'envie était là . Francis poussait des gémissements car j'allais le doigter en même temps. Et après cette douceur que je lui avais accordé , j'allais retrouver sa bouche pour lui offrir un baiser brûlant qu'il savait me rendre . "Je suis heureux de te retrouver mon bb" je lui glissais dans l'oreille, et oui je l'appelle comme cela. Cela devenait torride comme rencontre, où on allait passer d'un corps à un autre . Henri allant sucer sa queue à son tour, on échangeait nos sexes. Francis était chaud comme la braise, gémissant à tous nos caresses.

"Et moi, leur dis je", je n'ai pas le droit à ma suce! Lol! Sur ce mes deux partenaires se précipitaient sur mon corps pour m'offrir leur bouche en me glissant entre eux deux. Que c'était bon de sentir leurs corps chauds contre le mien. Je me laissais faire avec bonheur poussant à mon tour des gémissements et caressant la tête de Francis pour lui exprimer mon plaisir. Et pendant ce temps Henri allait s'occuper de la chatte de Francis en le doigtant et lui accordant des fessées et lui disant : "Tu aimes ça , ma coquine, ta chatte s'ouvre bien ". Francis appréciait cette excitation. Il m'avait demandé de la douceur mais de ...

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