Rêve déçu

Je suis parti ce matin sur les routes de France pour aller rendre visite à une vieille amie que je n’ai pas vu depuis longtemps.
L’idée m’est venue que je pouvais profiter de voyage pour rencontrer d’autres personnes. C’est pourquoi j’ai cherché sur internet qui rencontrer et où cela pourrait se faire. Je pensais trouver une femme coquine avec qui je pourrais passer une nuit ou deux et peut être rester en relation pour des rencontres ultérieures.
Je me suis mis à rêver. Je l’imaginais brune, pas trop grande et bien faite avec une poitrine généreuse et ferme des fesses rondes à damner un saint de longues jambes et un sexe gonflé d’envie, nu et accueillant. Une peau ayant la douceur de la soie complétait le tableau. J’ai pris contact avec plusieurs annonceuses sans succès ; qu’elles soient européennes, africaines ou asiatiques aucune n’était prête à assouvir mon phantasme. Pourtant j’avais très envie de sexe !

Plusieurs hommes s’intéressaient à moi et ne se préoccupaient pas de mon âge ce qui me surpris agréablement. Je répondis à chacun, pour moi c’est une preuve de savoir vivre. Je ne peux pas comprendre que recevant un message l’on puisse rester silencieux comme je le dis souvent : « une réponse fut-elle négative vaut toujours mieux que le silence ! »
Enfin l’un d’entre eux m’a interpellé et après avoir hésité je lui laissais mon mail pour une communication plus aisée en lui précisant que j’amènerais du champagne puisqu’il avait la délicatesse de me recevoir.
La veille de notre rencontre programmée, alors que j’attendais sa réponse, je m’endormais et me mis à rêver….

Il était beau, un peu plus grand que moi mais bien proportionné avec un visage souriant. Il était habillé d’un pantalon de toile légère et d’une chemise en lin d’une blancheur immaculée, les pieds nus. Il avait une démarche souple et légère un peu comme un chat. Sous sa chemise ouverte on devinait une musculature puissante mais non extravagante.
Après les présentations il me pria d’entrer, sa maison était décorée avec gout et on s’y sentait tout de suite bien. Me montrant un fauteuil il m’invita à m’asseoir.
Il avait lu mes histoires et les avait appréciées. Par curiosité, bien compréhensible il s’enquit de mes expériences passées et me demanda mon ressenti. Je lui avouai alors que j’en avais retiré du plaisir bien que ma préférence aille aux femmes. Il posa sa main sur mon épaule et me dit que si je le souhaitais, je pouvais me dévêtir. Bien que sa voix soit douce c’était plus une injonction qu’un conseil. Je me levais et commençait à me déshabiller, il s’assit face à moi et me contemplait avec attention.
Lentement je quittais mes vêtements un à un et me retrouvais dans la tenu d’Adam. Ces yeux brillaient et je compris que je lui faisais envie, douce sensation de plénitude annonciatrice de plaisir.
« Assieds-toi, je vais chercher le champagne que j’ai mis au frais ».
Avec sa démarche féline il partit et quand il revint peu de temps après, il était nu et portait un plateau avec le seau à champagne et deux flutes qu’il posa sur la table basse puis souriant s’approcha de moi et me pris la main qu’il posa sur son sexe. Je le sentais doux et chaud au creux de ma paume soudain je me mis à genoux et embouchait sa verge, refermant mes lèvres sur sa hampe. Ma langue tournait en caressant son gland. Il me gratifia d’une magnifique érection mais se retira doucement et me tendit une des flutes.
« Buvons d’abord à notre rencontre »
Nous avons terminé la bouteille en parlant de choses et d’autres chacun dans un fauteuil jusqu’à vider la bouteille. Alors se levant il m’invita à le suivre dans sa chambre.
A l’image de la maison, le décor était sobre mais élégant. Face à la porte fenêtre trônait un très grand lit, il l’ouvrit s’y coucha sur le dos et m’invita à le rejoindre. Je m’agenouillais au pied du lit et lui fit comprendre qu’il devait se rapprocher du bord. Il vint s’asseoir face à moi et écarta les jambes.
Je commençais par lécher ses testicules que je sentais gonflées puis ma langue courue sur sa hampe tout au long du filet. Je le regardais à la dérobée et vis qu’il fermait les yeux. Je pris son sexe en bouche et lui imprimait un lent mouvement de va et vient serrant mes ...

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