100% véridique.
En septembre 2004, ma femme reprit le travail. Elle commençait très tôt et du coup se couchait également très tôt. Elle traînait une fatigue continuelle qui nous empêchait d’avoir une vie sexuelle normale.
Regardant peu la télé, je décidais de prendre un abonnement au cinéma pour y aller une fois par semaine le soir. Cela me servait également un alibi pour essayer de rencontrer… En farfouillant sur les premiers sites web de rencontres, je vis que le parking du cimetière militaire de Luynes était un lieu où l’on pouvait rencontrer des couples. Aussi, après ma séance de ciné, j’allais chaque fois y faire un tour.
Il ne se passa rien pendant des semaines. Et puis un soir de printemps, alors que j’attendais vitre conducteur baissée, phare en veilleuse, dans mon Chrysler Voyager, je remarquai une 205 avec un couple à l’intérieur. Le conducteur faisait des aller et retours en ralentissant devant mon véhicule à chaque passage. De ma vue plongeante, je vis quand il passa dans le même sens que moi que la femme qui l’accompagnait semblait fort gironde : jupe rouge très courte, blonde, de jolies jambes. C’est tout ce que je pus distinguer dans la nuit aixoise.
Après deux passages, il se gara à une centaine de mètres de moi. Je fis un appel de phares. Il était déjà tard, plus de 23h30, et je me dis que s’il ne répondait pas j’allais rentrer chez moi. Deux minutes après, il démarra et vint vers moi. Il s’arrêta à ma hauteur en baissant sa vitre. Le mec avait une tête de catcheur, blouson en tissu noir.
- Bonsoir, t’es bi ? me lança-t-il.
- Oui, bi actif. J’aime bien sucer.
- T’es pressé de rentrer ?
- Non, j’ai du temps.
- Ca te dit un plan avec ma femme et moi ? Il lança sa main droite vers sa femme pour lui caresser la chatte me sembla-t-il.
- Oui, mais je ne connais pas d’endroit calme ici.
- Y’a un petit chemin sur la droite en partant vers la ZA de Luynes, tranquille. On pourra venir dans ta voiture ?
- Oui à l’arrière sans souci.
- OK. Suis-moi.
Et nous voilà partis. Effectivement, le chemin était tout proche. On fit 100 m jusqu’à une petite clairière sur la droite où nous nous garâmes. Ils descendirent de voiture pour me rejoindre et j’eus tout loisir de mater sa femme dans le trait des phares. Elle était réellement très jolie, petite quarantaine, blonde, la lumière me confirma qu’elle avait des jambes fines et galbées. Elle portait la jupe rouge très courte que j’avais vue, des bas noirs et un bustier rouge pigeonnant qui relevait ses seins à moitié visibles. On aurait dit une serveuse de bastringue.
Je descendis, leur ouvrit la porte arrière coulissante et ils montèrent. Je les suivis et fermai la porte. Ils s’assirent sur la banquette 3 places du fond. Je tournai le fauteuil de la deuxième rangée pour leur faire face. Le mec était déjà en train de sortir son zob large de son futal, avec une demie-bandaison. Sa femme enleva sa culotte noire et commença à branler son mari. Je descendis la braguette de mon pantalon, sortis mon zob et me branlai pour me faire bander.
- Vas-y suce-le, ordonna-t-il à sa femme.
Elle se pencha et, un genou sur la banquette, me prit dans sa bouche. Elle semblait totalement sous l’emprise de son homme, ne disant pas un mot et se laissant faire alors qu’il la branlait furieusement. Ses gémissements étaient un mélange de plaisir et de douleur. Je me mis debout, à moitié courbé, pour qu’elle put mieux me sucer. Elle avait un léger duvet blond sur ses seins en poire que je libérai du bustier et me mis à caresser lentement.
Quelques instants plus tard, je me mis à genoux pour sucer son mec. Je m’arrêtai ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite