Un après-midi d’été suffocant, j’avais 30 ans, un corps taillé pour le désir – 1m82, 90 kg, pecs bombés, abdos légèrement ciselés, et une queue épaisse, veinée, toujours prête à l’action. Le boulot m’avait saoulé, et une douleur sourde dans le dos me rappelait que je ne rajeunissais pas. Plutôt que de rentrer, j’ai filé dans un club gay underground, un antre où la sueur, la testostérone et le sexe brut saturent l’atmosphère. Les murs suintent de désir, et l’odeur de cuir et de musc m’enivre dès l’entrée.Dans une backroom nimbée de néons rouges, je repère Malik, la trentaine, peau ébène luisante comme de l’obsidienne polie. Un colosse de 1m90, des muscles gonflés à bloc – pecs massifs, biceps saillants, abdos en tablette de chocolat, et un cul bombé, rond, qui hurle la débauche. Sa serviette, à peine nouée, laisse entrevoir une bosse prometteuse. Nos regards se verrouillent, son sourire prédateur allume un feu en moi.

L’air crépite, chargé d’une tension sexuelle qui me fait bander direct.Je m’approche, ma main effleure sa cuisse massive, dure comme du marbre. Il grogne, un son rauque, animal, et m’attrape par la nuque pour m’embrasser sauvagement. Sa langue envahit ma bouche, un mélange de whisky, de sueur et de désir pur. Ma bite palpite sous ma serviette, déjà au bord de l’explosion. Il arrache le tissu, libérant mon sexe gonflé, dressé, prêt à tout. Sans un mot, il s’agenouille, ses lèvres pleines engloutissent ma queue jusqu’à la garde. Sa langue tournoie sur mon gland, ses mains puissantes malaxent mes couilles pleines. Je gémis, empoignant ses dreads courtes, et je baise sa bouche, mes hanches claquant à un rythme effréné.Il se redresse, balance sa serviette. Sa queue se dévoile : longue, épaisse, courbée, une veine saillante pulsant sur toute sa longueur. Elle me défie. Il me retourne, me plaque contre le mur, mes pecs écrasés contre la surface froide et poisseuse. Ses doigts, enduits de lubrifiant, forcent mon cul, m’ouvrant sans douceur. Je halète, cambré, offert. Il crache sur son gland luisant et me pénètre d’un coup brutal, sa bite massive m’écartelant. La douleur explose, vite noyée par un plaisir foudroyant. Il me pilonne ...

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