Toute la journée suivante j’attends avec impatience, regardant souvent la pendule qui n’avance pas. Puis vers 17h30 mes collègues partent enfin et j’invente un dossier important pour justifier de rester après l’heure. J’attends encore, ne sachant trop quelle attitude adopter. Attendre, frapper à la porte du bureau directorial ? Je suis sur le point de me lever quand le DRH de la société arrive. Son surnom dans l’entreprise est « le héron » car il est assez grand, dégarni et maigre. Un véritable échalas.
- Bonsoir Mademoiselle Lola.
- Bonsoir Monsieur Imbert.
- Nous avons rendez-vous avec Monsieur Lefèvre me semble-t-il ?...
- C’est exact, Monsieur Imbert, mais il ne m’a pas précisé d’heure.
Il ouvre la porte du secrétariat de direction, le traverse d’un pas rapide et va frapper à la porte du directeur :
- Oui entrez !… Ah Imbert !... Parfait je suis à vous. Voulez-vous faire venir Mademoiselle Lola ?
D’un geste courtois de la main, le « héron » me fait signe de le rejoindre. Ensemble nous entrons dans le bureau de direction et il referme la porte derrière nous.
- Imbert, cher ami, je vous ai mandé car je souhaite vous voir entériner une de mes décisions : Vous savez que Christiane nous quitte et je sais à quel point elle vous manquera autant qu’à moi ! J’aimerais beaucoup que Lola soit nommée sa place.
- Bien Monsieur Lefèvre, vos choix en matière de personnel sont souvent excellents, mais fera-t-elle l’affaire ? C’est un poste assez… délicat, non ?...
- Vous avez raison Imbert, mais Lola me semble avoir toutes les qualités requises.
- Dites-moi Monsieur le Directeur, lui auriez-vous fait passer un test d’aptitude ?
- Exactement, Imbert ! Et elle s’en est très bien sortie.
- Vraiment ?...
Je sens une certaine incrédulité dans le ton de sa question. Notre directeur a probablement le même sentiment car il sourit et dit à son DRH :
- Absolument mon vieux, et pour achever de vous convaincre, je suis certain que Lola réussirait avec brio un nouveau test.
Sur ces mots et comme la veille, il recule son fauteuil, ouvre sa braguette, sort son sexe et attend en me regardant d’un air provocant.
J’ai de nouveau le rouge aux joues, je le sens bien. Il veut que je recommence, je peux difficilement en douter, mais devant son DRH ???… J’ai un moment de désespoir en me demandant dans quelle aventure je me suis embarquée, mais qui ne dure que quelques secondes car je décide de réagir au défi : Ils me prennent tous les deux pour une oie blanche ? Eh bien ils vont voir !!!...
J’avance vers mon directeur comme je l’ai fait la veille, je m’agenouille et sans préliminaires, je prends sa verge en bouche et commence à le pomper. Je me sens si humiliée que j’en ai presque les larmes aux yeux. Je me raccroche à l’idée de ce poste et je pense à mon chéri qui serait si fier de moi si je le décroche enfin… Pour m’aider dans ma tâche, j’essaye d’imaginer que c’est à lui que je prodigue cette fellation et que c’est son sexe dont je raffole qui gonfle rapidement dans ma bouche…
Je vois apparaître de temps en temps, dans mon champ de vision restreint, « le héron » qui tourne autour de nous et qui n’est pas avare de commentaires :
- Eh bien, eh bien, en voilà une sacrée pipeuse. Elle y met de la bonne volonté, n’est-ce pas mon cher Philippe ?
Mon directeur ne répond rien, tout à son plaisir de savourer cette pipe magistrale. Mais visiblement son DRH n’attend pas non plus de réponse car il reprend de plus belle :
- Oh la petite cochonne… ce doit être une affaire !
Il s’approche de nous et je sens sa main se faufiler sous ma jupe qu’il relève.
- Depuis le temps que je mate la croupe de cette petite garce, je n’espérais pas pouvoir la peloter un jour ! Quel cul, mais quel cul !!! Il ne mérite vraiment pas d’être couvert par une culotte !...
Comme pour souligner ses dires, il se met à tirer ma culotte vers le bas. Comment faire pour l’en empêcher ? Je dois continuer ma fellation puisque mon employeur ne lui dit rien…
Imbert ne tarde pas à faire descendre ma culotte jusqu’à mes genoux et à glisser sa main vers mon sexe. Malgré mes efforts pour serrer les cuisses, sa main entreprend bientôt un va et vient sur ma vulve dénudée.
- Mais elle mouille la cochonne, ça lui plait, s’écrie-t’il d’un air victorieux !
Si la situation prend inexorablement une tournure qui m’échappe complètement, il est vrai cette fellation contre nature doublée des caresses intimes du DRH commencent à m’exciter plus que je ne l’aurais cru.
Ce vicelard d’Imbert glisse un doigt, puis deux dans mon sexe et se met à me prodiguer une caresse un peu brutale mais au combien efficace ! Je me surprends à tendre la croupe en arrière, comme une invitation à poursuivre ce jeu lubrique, tout en trahissant mes envies par quelques gémissements plaintifs.
- Tu aimes ce que je te fais, hein ma cochonne ?… Mais les doigts d’un mâle ne sont surement pas ce que tu préfères, j’en suis sûr !...
La scène que nous offrons dans ce bureau tourne doucement mais irrémédiablement à l’irréel, et à l’inconcevable pour moi il y a encore deux jours. Dans mon esprit, j’ai la vision d’un interrupteur à deux positions qui vient de passer de « secrétaire BCBG » à « trainée lubrique ».
J’entends le bruit d’une fermeture éclair, puis l’instant d’après le sexe du « héron » est à l’entrée du mien. Je n’ai plus envie de résister, je ne pense même plus au boulot ni à ma promotion, je n’ai plus en tête que mon plaisir. J’écarte un peu les genoux et le DRH s’engouffre d’un trait jusqu’à la garde. J’ai un petit moment d’arrêt, pour savourer la présence de ce membre au plus profond de mon intimité, puis je reprends ma fellation de plus belle, pendant qu’Imbert faisait monter mon plaisir à grands coups de reins.
Je sens le sexe de mon patron monter dans ma gorge et le goût acre de son sperme envahir ma bouche tandis qu’il pousse un grognement de satisfaction. Comme la veille, en bonne secrétaire attentionnée, j’attends qu’il ait éjaculé la dernière goutte pour faire le ménage avec ma langue. L’autre, accroché à mes hanches, continue ses vas et viens et se met à claironner dans son délire:
- Eh bien Philippe ?... Déjà ?... Regardez comme je bande mon ami. Je me retiens bien n’est-ce pas ! Et je l’ai maintenant pour moi tout seul. Cela vous dérange si je l’enfile sur votre bureau ? Il en a vu d’autre ce cher vieux meuble, n’est-ce pas ?...
Comme mon employeur ne dit toujours rien, Imbert me libère de son emprise et se relève. Son éducation lui ordonne de m’aider à me relever :
- Venez ma chère, vous méritez une position plus confortable pour vous faire enfiler.
Une fois debout ma culotte glisse jusqu’à mes chevilles et d’un petit mouvement de pied je m’en débarrasse tandis mon baiseur ôte son pantalon qu’il avait jusqu’alors juste ouvert. Il présente toujours une belle érection. Son sexe est plutôt mince, mais d’une longueur honnête.
- Allons ma chère Lola, venez par ici !...
Il me guide entre le bureau et mon patron qui nous regarde sans rien en perdre, avachi dans son fauteuil en tripotant son sexe maintenant flasque. Il me fait pencher en avant vers le bureau puis trousse ma jupe et me gratifie d’une petite claque sur les fesses :
- Avouez Philippe qu’elle a un cul magnifique. Dommage que vous sembliez un peu trop… désarmé pour en profiter ! Eh bien je m’y colle alors !...
Il présente de nouveau son sexe à l’entrée du mien et m’enfile comme une perle. Je suis debout, penchée sur le meuble, les jambes bien écartées, la poitrine reposant sur le dessus de bureau en cuir et je subis les assauts du DRH qui ne semble pas pressé de conclure. Je bouge à son rythme pour essayer de l’aider à monter au septième ciel mais rien n’y fait. Je pense à mon boss qui doit avoir un drôle de spectacle avec, à hauteur de sa vue, le fessier de son collaborateur qui s’agite dans sa secrétaire. Je réprime un petit rire nerveux…
Imbert se retire, et me prie de me relever :
- Allons ma belle, relevez-vous, voilà. Tournez-vous et posez vos jolies fesses sur le bureau. Voilà, très bien !… Laissez-vous aller en arrière… Parfait !... Relevez les jambes. Je suis sûr que votre patron appréciera de voir comme je pine votre vulve chaude et humide, lui qui n’a vu que le dessus de votre tête !
Je me retrouve ainsi exhibée, allongée sur le dos sur le bureau, les cuisses relevées, les jambes retenues par mes mains sous mes genoux. Mon intimité s’étale sous le regard de ces deux hommes, l’un dans son fauteuil essayant de redonner de la vigueur à son sexe comblé, l’autre pérorant debout, le sexe en érection, le front en sueur avec de larges auréoles qui décorent à présent sa chemise sous les aisselles.
- Alors Philippe ? Toujours pas tenté ? Non ? Tant pis, j’y retourne et je pense que je vais me permettre de sodomiser votre belle secrétaire. En espérant qu’elle ne me refuse pas ce plaisir comme cette garce de Christiane !
Il présente immédiatement son sexe à l’entrée de mon fondement qui, abondamment lubrifié par la liqueur intime de mon vagin, ne ...
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