J'aime me promener le long du port, quand c'est calme, désert et alors je m'assois sur un banc et je regarde la mer.

Un soir, pantalon de toile, je décide de faire un petit tour.
Je flâne un peu et je vais m’asseoir sur un banc, enfin dessus, assis sur le dossier, les pieds sur l'assise sinon je ne vois pas la mer.
 
Après quelques minutes de rêverie, un homme s'approche, contourne le banc.
Il me regarde mais, pris dans mes pensées, je ne le remarque même pas.
Il s'éloigne et revient peu de temps après.
Il refait le tour du banc et arrivé devant moi, sort un préservatif de sa poche et me regarde.
 
Surpris, je fais non de la tête et le regardant repartir, je repars dans mes rêveries.
Je repense à cet homme, à sa proposition et mon sexe se durcir.
Je n'ai pas un physique qui attire pourtant mais il m’a pris pour une pute.
 
Cinq minutes après, toujours assis sur ce banc, il revient.
Il glisse la main dans sa poche et ressort une capote.
Voyant mal, je lui demande :  
« - C'est quoi ? 
- Une capote »
Choqué mais excité, je le regarde en lui disant :
« - Suis pas une pute. »
Il me regarde, baisse les yeux sur ma braguette, les relève et m'adresse un petit sourire.
Je suis en érection et ma braguette n'est pas fermée.
Mon sexe tend mon boxer qui sort de mon pantalon.

« -J'ai très envie de baiser »
Confus, gêné mais excité d’être vu comme une pute, je bande de plus en plus.
Il s'approche, passe sa main sur mon caleçon, effleure mon sexe déjà dur.
« - Je te saute vite fait ? »
Je ne sais plus trop quoi dire.
Un homme me touche la bite, me prend pour une pute et me propose de me faire sauter.
Sa main saisie mon sexe avec autorité.
« - Viens chez moi, je vais te baiser. Tu me fais envie !»
 
Je descends du banc et je le suis jusqu'au parking.
Je monte dans sa voiture.
Tout est confus dans ma tête. Pourquoi ai-je accepté ? Qu'est-ce que je fou là ?

Plus ça tourne dans ma tête et plus je bande.

Il démarre en me disant qu'il habite pas loin.
Sur la route, il me prend la main, la met sur son sexe :
« - Vas-y, touche là !»
Je sens son sexe dur dans son pantalon, dur et visiblement grosse.
« - J'espère que tu sais sucer !»
Je commence à paniquer et me demande ce qui m'a pris. Il me prend vraiment pour une pute.
Un mouvement réflexe fait que je retire ma main
Il la rattrape, la repose sur son sexe
« - Non non, laisse-la là. Tripote là !»
Je caresse son sexe par-dessus son pantalon, elle grossit sous mes doigts
« - Tu vois, ma bite aime bien ta main.
Ça fait longtemps que tu fais la pute comme ça ?
- Non, c'est la première fois.
- Tu vas voir, tu vas aimer. Je vais te baiser.»
 
Je viens de dire à cet homme que je ne connais pas que je suis une pute et plus j'y pense et plus je suis excité et terriblement stressé.
Lui prend ça avec banalité.

Effectivement, il n’habite pas loin.
Il se gare, coupe le contact, ouvre sa portière et l'invite à le suivre.
Dans le hall, il appel l’ascenseur.
Nous y entrons, il appuie sur le numéro 5, les portes se referment et ses mains viennent sur mes fesses.
Je me fais peloter le cul dans un ascenseur et je me laisse faire.
 
« - Beau petit cul, hâte de le défoncer.»
Nous arrivons, et me fait rentrer dans son petit appartement.
Une cuisine, une salle de séjour, une salle de bain et une chambre.

« - On va se prendre un verre avant, ça te dit ? Un whisky ? »
Je m'assois sur son canapé. Il revient avec 2 verres et s'assoit à mes cotés
On trinque, buvons une gorgée et repose son verre.

Sa main vient directement sur ma braguette ouverte.
« - Alors comme ça c'est la première fois que tu fais ta pute ?
J'en ai baisé quelques-unes. Je vais te baiser aussi.»
Il prend mon verre des mains pour le poser.
« - Caresse moi la queue!»
Je mets ma main sur son sexe et le caresse par-dessus son pantalon.
« - va s’y, sort ma queue, fais pas ta timide !».
Je déboutonne son pantalon, ouvre sa braguette et glisse ma main dedans.
Il ne porte rien dessous et je sens sa queue sous ma main. Je la prends entre mes doigts et la sors
« - elle te plaît ma queue ? »
Je la regarde. Elle est dur, grosse et m'excite terriblement.
« - Je vais te la mettre dans le cul mais avant tu vas la sucer ! »

Je suis tétanisé, son ton est ferme, directif et je suis là, assis sur un canapé d'un homme que je ne connais pas, son sexe dans mes mains.
Il reprend son verre.
« - Continue de me branler !»
Sirotant son whisky, moi le branlant.
« - Tu ne sais pas te servir de ta bouche ?! »
Je me penche et lui toujours à boire, j’embrasse sa queue et la caresse avec ma langue
« -Hum, c’est bon ça, continue ma pute ! lèche ! N’oublie pas mes couilles !»
Je m’applique à le lécher, de ses couilles à son bout.
 
« - Suis moi. »
Il se lève et je le suis.
Il m’amène dans sa chambre
« -C'est là que tu vas te faire baiser comme une petite chienne ! 
Tu vas ressortir, t’auras mal au cul !»
Il retire son pantalon s’assoit sur son lit en s’adossant a sa tête de lit, jambe écartée.
« -Regarde ma queue, t'as vu comment tu m'excites !
Tu me fais bander petite pute, c'est de ta faute !
Allez, viens la sucer ! »
Je me mets à quatre pattes sur le lit, entre ses jambes.
Ses mains m’empoignent la tête et la dirige sur son sexe.
« - Suce salope!»
Il force ma bouche avec sa queue, j'ouvre et la rentre dedans.
« -Bonne petite pute !
Suce ma queue sale pute !»
Ses mains agrippent mes cheveux et il enfonce son sexe.
Plus son sexe me remplit la bouche et plus il me traite de tous les noms :
« - Sale pute, applique-toi !
Après ta bouche c'est ton cul que je vais remplir !
Je vais te baiser, te défoncer le cul !»
Sa main faisant monter et descendre ma tête sur sa queue.
«- Bonne chienne. Suce !»

Il me lâche, sort sa queue de ma bouche :
« A ton cul a présent. A poil ! »
Je descends du lit et j’enlève mon pantalon et retire mon boxer

« -Allonge toi sur le dos ! »
Je m'allonge sur son lit.

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