C'était l'une des premières fois que je m'aventurais à sortir habillé en fille. C'était un soir de juin, doux et ensoleillé, et je m'étais habillé légèrement, n'enfilant qu'une jupette courte et un petit haut échancré par dessus mes sous-vêtements sexy en dentelles. J'avais soigné mon maquillage, léger mais un peu provoquant, avec un rouge à lèvre très vif, et ma coiffure, pour être la plus féminine possible.
A la tombée de la nuit, je suis monté à vélo et j'ai traversé les rues encore animées jusqu'au parc de la citadelle, où les sous-bois servaient, en soirée, de lieux de rencontre à toutes sortes de personne en quête de relations sexuelles. Côté parking, c'était plutôt les hétéros échangistes qui avaient l'habitude de se retrouver, et un peu plus loin, derrière le vieux stade, un bois servait traditionnellement de lieu de drague gay. Après avoir un temps hésité, j'attachai ma bicyclette à un banc et m'installait à l'entrée d'un chemin donnant accès au sous-bois, approximativement à mi-chemin entre les deux zones, en espérant être suffisamment visible pour attirer les mecs de passage dans l'une comme dans l'autre.
La nuit était tombée et je commençais à frémir dans la fraîcheur qui l'accompagnait quand j'entendis des bruits de pas approcher sur l'allée principale, puis distinguait une ombre qui se dirigeait vers moi. Un mec chauve d'une quarantaine d'années, bermuda informe et petite brioche sous son t-shirt trop large. Il s'est planté devant moi et m'a demandé direct : "Tu suces ?" J'ai acquiescé. "Gratuit ?" J'ai de nouveau confirmé. Il a porté la main à sa braguette en me lançant : "Alors mets-toi à genoux, et pompe salope !" Je ne me suis pas fait prier et je me suis agenouillé(e) devant lui pour sucer la queue qu'il avait prestement sortie et qui a vite durci entre mes lèvres. Il m'a attrapé par les cheveux, m'imposant un rythme soutenu, et tandis que sa bite allait et venait entre mes lèvres et s'enfonçait dans ma gorge, il continuait à me traiter de salope et de pute tout en faisant des commentaires sur ma façon de pomper et le nombre de queues que j'avais déjà du avaler (ce sur quoi il n'avait pas complètement tord...). Il me parlait à voix basse, mais dans le calme nocturne des lieux, cela a suffi à attirer d'autres mecs que j'entendais approcher, venu des deux côtés. Certains épiaient de loin, semblant se demander si c'était juste de l'exhib où s'ils pouvaient participer, d'autres, plus audacieux, commencèrent à former un cercle autour de nous, en sortant leurs queues et en les branlant. J'étais très excité, je sentais ma petite queue qui raidissait contre la dentelle de mon string. Sans hésiter, j'ai fait signe au plus proche d'approcher pour le masturber pendant que je continuais à sucer le premier. C'est à ce moment là qu'il a déchargé dans ma bouche, en la remplissant d'un sperme épais et abondant qui a débordé sur mon menton et dégouliné dans mon décolleté.
Le temps d'avaler, et je pompais déjà le deuxième, qui avait une belle queue épaisse et longue que je peinais d'abord un peu à faire glisser au fond de ma gorge. Quand j'y suis enfin parvenu, il m'a maintenu la tête un moment contre son ventre en lançant aux autres : "Putain, elle est douée la pute !" Deux autres se sont approchés et ont guidé mes mains vers leurs membres tendus que j'ai branlé tout en gobant la grosse bite qui me remplissait la bouche jusqu'aux amygdales. A genoux avec une bite dans la bouche et une dans chaque main, sentant des doigts inconnus qui me frôlaient et me pinçaient les tétons, je me sentais particulièrement salope.
Quand M. Grosse Queue m'a laissé souffler un peu, j'ai fait ma gourmande et je me suis fourré les deux bites que je branlais en même temps dans la bouche, suscitant une nouvelle vague d'exclamations et de commentaires plus ou moins vulgaires. Je n'ai pas eu à pomper mes deux nouveaux comparses bien longtemps et ils ont vite craché leur foutre sur mon visage.Puis M. Grosse Queue est revenu à la charge bien décidé à en finir cette fois, pendant que deux nouvelles verges remplaçaient celles qui venaient de jouir entre mes ...

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