Cela faisait longtemps que je fantasmais sur une des meilleures amies de ma femme.
Il faut dire qu’elle attirait l’attention de la gente masculine. Elle avait 53 ans, était mince, finement musclé car sportive, blonde, coiffure à la masculine, belle poitrine que je savais être passée par la chirurgie esthétique, belle chute de reins et des jambes fines et bien galbées. Etant commerciale, elle était toujours bien maquillée sans outrance et habillée disons d’une façon bcbg sexy. Et ses yeux était comme deux billes d’un bleu très vif. Il dégageait d’elle une assurance en toutes circonstances.
Par ma femme, je la savais célibataire et vivant seule. Ma femme ne lui connaissait pas de relation suivie et savait qu’elle participait à des séjours pour célibataires afin de trouver l’âme sœur mais quelle devait être très sélective surtout au niveau financier de ses éventuels soupirants.
Je la connaissais assez bien par le biais de ma femme. Nous avions plusieurs fois dîner chez elle ou chez nous. Nous avions fait un voyage d’entreprise avec elle, voyage qui me permit d’établir une certaine complicité avec elle. Je pense qu’elle savait que je n'étais pas insensible à son charme.
Un dimanche de fin de printemps nous l’avions invité pour déjeuner. Même en tenue de week-end il dégageait d’elle charme et sensualité. J’avoue que je ne pouvais pas m’empêcher de la mater et oser lui faire quelques compliments. Nous habitons en banlieue parisienne et elle était venue de Paris en RER. En fin de journée, je me proposais de la ramener à la gare. Arrivée au parking, je descendis lui ouvrir la portière et au moment de nous faire la bise je cherchais plutôt un baiser. Nos lèvres s’effleurèrent juste un peu. Elle fut un peu surprise mais ne dis rien. Puis je la regardais s’éloigner déjà heureux de ne pas mettre pris un gifle. Au moment d’entrer dans la gare, elle se retourna et me fit un petit sourire.
Je l’ai contacté quelques jours plus tard sur un réseau social. Hypocritement, je m’excusais un peu pour mon geste déplacé mais elle ne semblait pas m’en tenir rigueur bien au contraire. Elle était tout simplement gênée vis à vis de ma femme. Au fur et à mesure de nos échanges, une complicité plus intime naissait et je fini par lui proposer un rendez-vous sur Paris. Elle m’invita chez elle.
Le jour venu, je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit dans une tenue toujours aussi classe, jupe arrivant à mi-cuisse, chemisier un peu dégrafer laissant apparaître la rondeur de ses seins et talons hauts. On se fit la bise du coin des lèvres, je la complimentais sur sa beauté et on s’installa dans son salon ou elle m’offrit à boire. Assis côte à côte, la conversation revint très vite sur nous et ma femme. Pourquoi alors cette invitation ?. Je décidais de brusquer les choses et me pencha sur elle pour l’embrasser et elle ne me repoussa pas. Nos langues se mêlèrent. On échangeât notre premier vrai baiser et aussitôt d’une main je lui caressais un genoux puis remontais entre ses cuisses. Ma main lui caressais ses cuisses gainé dans des bas qu’elle écarta au fur et a mesure permettant à ma main de remonter jusqu’à son entrejambes. Puis m’écartant, je lui déboutonnais son chemisier découvrant une belle gorge débordant du soutien gorges. D’elle même, elle le dégrafa et je glissais mes mains sous les bonnets pour caresser sa belle poitrine siliconée avant même qu’elle ne l’ôte complètement. Elle avait glissé une main sur mon entrejambes et me massait au travers de mon pantalon. Puis m’agenouillant au pied du canapé, je soulevais sa croupe pour la reposer bien au bord du canapé. Je lui retroussais sa jupe, écartais bien ses cuisses puis le tissu de son string pour découvrir une belle chatte totalement épilée. Je plaquais ma bouche sur sa chatte pour lécher ses lévres intimes avant d’y insinuer ma langue. Puis quand ma langue atteint et excita son clito, la respiration de Nadine devint haletante. Puis je remplaçais ma langue par un doigt puis deux avec lesquels je limais sa chatte bien chaude et humide. Je continuais en ajoutant mon pouce pour exciter son clito. De temps en temps elle me fixait d’un regard plein de désirs puis fermait les yeux tout en gémissant. J’accélérais, elle souleva ses reins, je vis ses doigts se crisper sur le tissu du canapé puis resserra ses cuisses sur ma main quand elle joui. Pendant qu’elle reprenait ses esprits, j’en profitais pour me déshabiller complètement. Je l’entraînais dans sa chambre et elle s’allongeât sur le dos. Je lui retirais son string, m’allongeais sur elle, guidais mon sexe ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur