1ere Partie : initiation 1
Bonjour voici un petit récit, largement fantasmé ; mon « aventure » se déroule en Allemagne à quelques kilomètres de Strasbourg. Pour des raisons de simplification j’ai mis les dialogues en français.
Pour information, en Allemagne les bordels sont autorisés, dans les grandes villes on les appelle ‘Eros Center’, dans la campagne se sont souvent des relais routiers avec une arrière salle ou une cave discrète, on les nomme ‘Bordell’, tout simplement et ils sont très fréquentés.
C’était il y a une dizaine d’années, j’avais 51 ans, veuf depuis plusieurs mois. Depuis des années je me travestissais occasionnellement, m’épilais intégralement, mais j’avais fait très peu de rencontres, je n’avais été sodomisé qu’une seule fois, avec difficulté.
Depuis deux ans, je fréquentais une gravière en Allemagne, à quelques kilomètres de Strasbourg, j’avais appris par un partenaire éphémère dans un sauna que la plage sud était fréquentée par des homos et était naturiste. C’était vrai et j’y allais souvent en sortant du boulot, de mai à octobre.
J’avais été dragué plusieurs fois (un mec au corps totalement lisse et à poil c’est forcément un pédé qui cherche…), j’avais toujours refusé car je cherchais un mec qui me baise dans un lit, pas dans les fourrés, je tenais à un minimum de confort et de discrétion. Je n’avais accepté qu’une seule fois, un vieux qui m’a emmené dans son appartement à quelques kilomètres de là ; mais il ne bandait plus, il m’a demandé de m’exhiber devant lui en travelo, m’a branlé, m’a léché le petit trou, ça j’ai adoré… Mais je restais sur ma faim, je n’étais toujours pas une enculée …
Je m’installais toujours au même endroit, à quelques mètres d’un homme âgé, environ 65 ans, grand, assez enveloppé (je suis moi-même assez enveloppé), il me plaisait bien mais je n’osais pas l’aborder, nous nous disions juste bonjour /au revoir…
Ce jour-là je décidai de tenter ma chance, j’irai me baigner en sortant du boulot, mais cette fois je lui donnerai un signe ; je mis une petite culotte de satin rose avec dentelle grise, je m’arrangerai pour la voie bien quand j’enlèverai mon pantalon. Peut-être que cela sera suffisant pour qu’il devine mes intentions.
Le moment venu, par chance il n’y avait personne d’autre à proximité immédiate, j’enlevai ma chemisette, puis mon pantalon, lentement pour il ait bien le temps de voir ma jolie petite culotte, quand je la retirai j’essayai de le faire de la façon la plus féminine possible. Quand je m’allongeai, il me fit un grand sourire, je suis sûre que j’ai rougi ; je lui ai également souri. De temps en temps je jetai un regard furtif et je constatai qu’il m’observait discrètement. C’était plutôt bon signe.
J’allai nager quelques minutes, quand je revins à ma place il ne me quittait pas du regard, avec un petit sourire, mais ne disait rien ; de mon côté je ne savais comment engager la conversation, lui non plus visiblement. Le soleil tapait dur ce jour-là, je commençai à m’enduire de crème solaire, d’abord devant, poitrine, ventre, cuisse, jambes ; je terminai par le sexe. Je constatai qu’il ne me quittait plus des yeux. Plutôt bon signe. Je me tournai et entrepris de m’enduire le dos, nettement moins facile que l’avant… je me dis que c’était le moment de tenter le tout pour le tout, je poussai de petits soupirs pour bien montrer que j’avais du mal à accéder au milieu du dos…et ça a marché, il m’a demandé si je voulais qu’il s’en charge, je m’empressai d’accepter. Il plaça son drap de bain juste à côté du mien, je constatai que son sexe était en érection. Il m’enduisit copieusement le dos, en massant bien, continua par les jambes puis les cuisses, il me fit remarquer qu’il avait l’impression de caresser une femme, tellement ma peau était lisse et douce. Je répondis que je m’épilai régulièrement.
- C’est vrai que pour porter des dessous féminins c’est préférable, plus joli dit-il.
On y était, il avait réagi comme je j’espérai. Il s’occupa enfin de mes fesses, il me les tartina généreusement, insista particulièrement sur ma raie, s’attarda sur ma petite rondelle vierge :
- Il faut bien protéger ta petite chatte du soleil me glissa-t-il à l’oreille.
Je poussai un petit grognement de satisfaction, mon sexe était en érection, il dû s’en rendre compte car je me cambai légèrement, il glissa une main sous moi et saisit ma verge :
- Elle est excitée la petite pute.
- Oui, très excitée.
- Maintenant c’est à ton tour de t’occuper de moi.
Je ne fis pas prier, il se recoucha sur son drap de bain, sur le dos, sa queue bien dressée, une queue assez fine, plus longue que ma petite bite de femelle. Je lui tartinai consciencieusement la poitrine, le ventre, puis comme il m’avait fait je m’occupai de ses jambes, puis de ses cuisses ; quand je fus parvenu en haut de ses cuisses il plaqua une main derrière ma tête et la dirigea vers son sexe toujours tendu, je ne résistai pas et la pris à pleine bouche. Je l’avalai goulument, elle durcissait encore ; il m’interrompit après quelques va et vient en me faisant remarquer que nous n’étions plus seuls sur la plage ; d’autres mecs étaient arrivés entre temps et nous regardaient :
- Il y a trop de monde ici je n’aime pas ça, on va aller chez moi, on sera plus tranquilles.
Il m’expliqua qu’il habitait à cinq minutes en voiture, dans une maison isolée, discrète, j’acceptai. Nous allâmes faire trempette une dernière fois pour nous rafraichir, nous nageâmes quelques minutes cote à cote. Juste avant de sortir de l’eau, il se colla à moi, m’embrassa de force et força mon anus avec un doigt, quand nos lèvres se séparèrent il me dit :
- Que les choses soient claires, je suis le Mec, tu es ma femelle.
Je confirmai que c’était bien ce que j’avais compris que je serai une petite femelle très très docile. Nous sortîmes de l’eau, nous séchâmes et nous nous rhabillâmes. Quand je remis ma petite culotte il me demanda si j’avais d’autres dessous féminins, je lui dis que j’avais une garde-robe complète, il parut ravi. En allant rejoindre nos voitures il m’expliqua qu’il était veuf aussi, qu’il partageait une grande maison à l’écart du village de Willstätt avec sa sœur cadette. Sa sœur était très discrète et très ouverte, elle ne serait pas choquée de le voir revenir avec un homme, enfin plutôt avec un homme femelle dit-il en riant.
Je suivis donc sa voiture, effectivement nous fumes rendus en moins de cinq minutes, c’était une grande maison isolée, je pus constater qu'il y avait un grand jardin entouré de hautes haies, on pouvait y faire du naturisme sans crainte de regards indiscrets. Sa sœur était absente, il m’emmena sur une grande terrasse donnant sur le jardin. Il me proposa une bière et m’ordonna de me déshabiller en ne gardant que ma petite culotte pendant qu’il cherchait la boisson. Je m’exécutai sans tarder, ma petite bite en érection. Il revint avec un plateau et deux bouteilles de bière et deux verres. Il se déshabilla à son tour, s’assit, écarta ses cuisses et ordonna :
- A genoux grosse pute, tu vas terminer ce que tu as commencé tout à l’heure et applique toi, quand je jouirai tu avaleras mon jus et tu me laveras la queue avec ta langue.
Ce langage me plaisait, je cherchais un homme autoritaire, un vrai mec quoi, qui me traite comme une fiotte.
Je le pompai donc consciencieusement, avec application ; j’alternais des vas et vient avec des léchages de son gland et de ses gros testicules. Je l’entendais respirer lourdement, pousser de longs soupirs, il avait l’air d’apprécier. Pendant de longues minutes je le suçai goulument jusqu’à ce qu’il jouisse, je senti son jet au fond de ma gorge, je reculai légèrement pour bien le recueillir dans ma bouche. J’avais déjà sucé plusieurs fois mais jamais pris du sperme dans la bouche, le gout n’était pas désagréable, bien au contraire. Je lui nettoyai ensuite la queue avec ma langue comme il me l’avait ordonné. Il me saisit par les cheveux, m’obligeant à me relever, puis il m’embrassa de force, introduisant sa langue dans ma bouche. Ce faisant il me pelota les seins puis les fesses, puis il glissa une main dans ma petite culotte :
- Mais elle a joui la petite pute, tu mouilles salope.
Je hochai la tête, il me baissa la culotte et entreprit de me lécher le sexe puis il me demanda de me retourner et essaya d’enfoncer un doigt dans mon petit trou ; je poussai un cri :
- Tu es vierge ?
- Oui
- Plus pour longtemps, je vais m’en occuper.
Il servit les deux bières et avant de me donner mon verre il y trempa sa queue :
- Comme ça tu vas continuer à me déguster.
Je le remerciai et nous trinquâmes, il m’expliqua qu’il était veuf, bisexuel, s’appelait Rolf, retraité de la police et qu’il était à la recherche d’une femelle comme moi, il voulait une « femme à petite bite » à son entière disposition, docile soumise et lubrique. Il précisa qu’il exigeait une obéissance totale sous peine de punitions sévères.
C’était pile ce que je cherchais, j’avais toujours été d’un naturel soumis (dans mon couple ce n’était assurément pas moi qui portait la culotte !).
Quand il eut fini de m’expliquer ce qu’il attendait il m’ordonna de terminer ma bière de me lever et d’attendre, il se leva à son tour, entra dans la maison. J’étais excitée comme une puce, ma culotte était mouillée.
Il revient un instant plus tard avec un sachet nylon, il sortit deux paires de menottes et m’attacha à la pergola, bras écartés ; il me mit également un masque sur les yeux, je ne voyais plus rien :
- Maintenant je t’écoute, présente-toi et explique-moi en détail ce que tu cherches.
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