Je m’étais mise dans une drôle de situation, ça ne correspondait pas vraiment à ce que j’avais imaginé à la gravière ; je pensais être tombé sur un gentil papy qui m’initierait en douceur et en fait j’avais à faire avec un couple dépravé qui visiblement avait des pratiques hard. D’un autre côté, j’avais toujours fantasmé sur une relation Maître/Soumise et sur le fait d’être baisée en présence d’une femme ; j’allais être servie, il me faudrait assumer.
Rolf me détacha de la pergola, me menotta les mains dans le dos et m’entraina dans un escalier, nous descendions dans une cave, il ouvrit une porte, me fit pénétrer dans une pièce, il m’ordonna d’écarter mes jambes et d’attendre. J’entendis la porte se refermer, l’attente dura de longues minutes. Enfin ils revinrent tous deux, il ôta mon masque. Nous étions dans une grande pièce à pierre apparentes, en face de moi il y avait un grand lit à armature fer, il était recouvert d’un drap en latex rouge. Je remarquai aussi qu’aux murs il y avait plusieurs anneaux, il était facile d’en deviner l’usage. Rolf avait revêtu un pantalon bizarre en cuir, son sexe et son derrière étaient largement échancrés, il portait un gilet sans manches, en cuir également. Sa sœur était assise d’un un fauteuil de cuit rouge, elle portait une guêpière seins nus en cuir noir et rouge, des basses résilles, mais pas de culotte. Elle était assise cuisses écartées et je pus constater que son sexe était parfaitement épilé. Elle mouilla ses doigts avec sa bouche et commença à se caresser en gémissant.
Soudain, Rolf me gifla violemment :
- Tu te rinces l’œil grosse pute, tu es ici pour prendre de la bite dans le cul, pas pour reluquer la chatte de ma sœur, elle n’est pas pour ta petite bitoune ridicule. Excuse-toi.
- Pardon Madame Anna.
Il retira ma culotte et me l’enfonça dans la bouche, il constata que je bandais de nouveau :
- C’est la chatte d’Anna qui te fait bandouiller Salope ? je vais t’apprendre à te contrôler, tu ne banderas que quand je te l’ordonnerai.
Il prit mes testicules dans une main et serra, le bâillon étouffait mes hurlements de douleurs, de l’autre main il me gifla de nouveau. Je pleurai, je sentais de grosses larmes couler de mes yeux.
- Vassy, chiale gonzesse ce n’est que le début, tu vas encore en prendre d’autres. J’aime faire souffrir les grosses putes comme toi, tu verras tout à l’heure quand je déchirerai ton trou du cul.
Anna poussa un cri de jouissance et dit :
- Ça y est, je suis toute mouillée, tu peux te servir.
Il retira le bâillon de ma bouche et alla auprès d’elle et recueillit sa cyprine dans une main, et m’enduit le visage et ma raie :
- Bien, maintenant tu sens la vraie femelle.
Il me fit m’assoir sur le bord du lit, j’étais toujours menottée, il m’intima l’ordre de le sucer, il me saisit par les cheveux et me força à prendre son sexe dans la bouche :
- Pompe moi bien connasse, fais-moi bien bander.
Je m’appliquai autant que je pouvais, il plaqua ma tête contre son pubis, m’obligeant à gober la totalité de sa queue, je suffoquais, elle allait jusqu’au fond de ma bouche.
J’entendis Anna lui dire :
- Mon chéri évite de jouir dans sa gueule de pute, réserve toi pour son cul.
- Tu as raison il est temps de s’occuper de son gros cul.
Il me fit relever, ôta mes menottes et me poussa brutalement sur le lit, il me remit les menottes en les fixant aux barreaux du lit et me força à cambrer mes fesses. J’étais à quatre pattes, mon large fessier offert. Il me fit écarter les cuisses et se mit à m’administrer une fessée magistrale, à la main pour commencer puis je sentis les lanières d’un martinet s’abattre sur mon postérieur.
- Une petite mise en bouche pour attendrir la viande et bien te faire comprendre qui commande ici.
Je poussai de petits cris, mais la douleur était supportable et j’aimais bien la fessée, j’avais eu par le passé quelques petites expériences dans ce domaine et ce n’était pas pour me déplaire ; c’est ce qui allait inévitablement suivre qui m’inquiétait plutôt.
Il voulut me mettre un bâillon sur la bouche, mais Anna lui dit qu’elle voulait entendre mes cris quand il me pénétrerait. Elle avait approché le fauteuil du lit et je constatai qu’elle se masturbait avec un gros gode violet. Derrière elle il y avait un grand miroir au mûr, je pus donc assister aux préparatifs de mon Maître, je vis qu’il avait un flacon de gel en main (au moins ne me violerait-il pas à sec, c’était déjà ça).
Il fit couler le gel le long de ma raie, puis il fit des mouvements circulaires autour de mon anus, c’était très agréable ;
Il fit remarquer :
- Elle a l’air d’aimer ça la grosse pute, regarde comme elle tortille du fion.
- On verra quand tu lui feras ta piqure de viande, si elle aime toujours.
Il me « travailla » pendant de longues minutes, remettant régulièrement du gel, il introduisit un doigt doucement dans mon petit trou, il entra sans résistance, puis un deuxième sans autre difficulté, pour le troisième doigt ce fut moins facile, je me crispai et poussai un petit cri.
- C’est vraiment une pucelle, elle n’avait pas menti. Je sens que je vais me régaler.
- Elle va passer directement de pucelle à pute, il faudra bien la former pour Paolo.
C’était la première fois que j’entendis parler de Paolo, donc je ne compris pas ce qu’elle voulait dire. J’étais totalement concentrée sur ce que Rolf me faisait. Je parvins à me détendre quelque peu et il put enfin introduire son troisième doigt, il me masturbait lentement tout en me caressant les fesses, il était finalement capable de douceur, mais je craignais que cela ne dure pas…. Je n’avais pas tort. Dans le miroir je voyais qu’il se masturbait. Petit à petit il écarta ses doigts, j’avais un peu mal mais mon anus cédait progressivement. Puis je vis qu’il était en train d’enfiler un préservatif, ça y est je vais passer à la casserole. Il mit également un loup sur son visage.
Il me força à me cambrer plus, me donna une grande claque sur les fesses :
- Laisse-toi faire grosse pute tu as une visite, tu vas comprendre maintenant la différence entre un homme, un vrai et une lopette.
Je sentis son gland s’insérer dans ma rondelle, dans un premier temps je ne ressentis pas de douleur particulière puis comme une grande brulure quand le gland fut passé ; je criai et essayai de me débattre, il se retira et gifla :
- Je t’ai dit de te laisser faire pétasse, plus tu te crisperas plus tu auras mal, d’une manière ou d’une autre tu vas y passer, alors tiens-toi tranquille et sois coopérative.
Il remit du gel et me pénétra de nouveau, j’étais tendue mais j’essayai de ne pas lui résister. La douleur fut de nouveau intense quand son gland fut en moi. Il s’immobilisa un long moment, le temps que mes sphincters se détendent. Sa sœur se moquait de moi :
- Toutes pareilles ces pouffes, elles veulent se faire enculer mais dès qu’une vraie bite se présente elles veulent se débiner. Pas de bol pour toi, là tu es tombée sur un vrai queutard, tu n’y couperas pas. Tu voulais être une femme, il va falloir le mériter.
Il poussa doucement, s’enfonça progressivement dans mon fondement ; c’était encore très douloureux mais je commençai à m’y habituer, il fit de cours va et vient. Petit à petit sa queue entra entièrement dans mon cul, il me tenait fermement par la taille, je sentais ses gros testicules me frapper les fesses. J’étais vaincue, je subissais ses coups de boutoir sans tenter de résister désormais ; après tout Anna avait raison je cherchais à me faire baiser et je savais pertinemment que la première fois serait un moment difficile à passer. Je parvenais progressivement à me détendre et à gérer la douleur. Je haletais en même temps que je poussai des petits cris :
- On dirait qu’elle commence à aimer ça la petite pute dit Anna.
- Tu en doutais ? Ces chiennes ont besoin d ...
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