A mon retour de vacances, je distillais à mon beau-père le récit de mes aventures estivales. Pour ça, nous avions institué un petit rituel : chaque fois que nous étions seuls à la maison, nous nous mettions nus et, en nous branlant, je lui narrais un épisode croustillant, gardant l’histoire suivante pour la prochaine fois comme Shahrazade dans les Mille et une nuit.
De son côté, il ne restait pas inactif et, toujours infidèle à ma mère, il faisait régulièrement des rencontres qu’il me partageait à son tour. Voici ce qu’il me raconta un jour :
A l’époque, existait encore dans le deuxième arrondissement de Paris, rue de la Ville Neuve un cinéma porno nommé Le Beverley. Lors d’un déplacement prétendument professionnel (mais j’ai des doutes), Vincent s’y rendit. C’était un soir, il y avait assez peu de monde, une dizaine de spectateurs. En entrant dans la salle, il s’appuya un moment contre le mur de briquettes, à droite, le temps de laisser son regard s’habituer à la pénombre. A l’écran un vieux porno de l’âge d’or du X avec les incontournables acteurs et actrices de l’époque : Brigitte Lahaie, Alban Ceray, Richard Allan … Il n’y avait que des hommes, répartis dans la salle par deux ou trois. Certains se déplaçaient de temps à autre pour s’approcher d’un autre groupe. La plupart avaient la queue à la main et se branlaient, plus excités en réalité par leur voisinage immédiat que par ce qui se passait à l’écran. Vincent était déçu. Il espérait trouver quelques femmes dans le public. Il s’assit malgré tout et ne tarda pas à être rejoint par un mec, la soixantaine assez mal conservée et qui essayait de gagner dans ce lieu des plaisirs que sa séduction éteinte ne lui permettait plus de trouver ailleurs. Il posa la main sur la cuisse de Vincent qui le repoussa. Il tenta sa chance une seconde fois. Vincent le repoussa à nouveau et changea de place. Il s’installa presque au fond de la salle tout près de la porte. Il fut ainsi le premier à voir un couple entrer, immédiatement suivi d’un second. Ces quatre-là étaient manifestement des amis venus s’encanailler ensemble. La porte battait encore quand le caissier fit son entrée. Il alla droit se positionner devant l’écran pour annoncer :
-Messieurs, chers spectateurs, nous avons ce soir deux couples qui nous font le plaisir de leur visite. Ils sont là pour s’amuser et je vous demande de les respecter. Ces dames vont choisir parmi vous les partenaires avec lesquels elles se divertiront. Si vous n 'êtes pas choisi, il faudra vous contenter de regarder, mais si vous êtes élu, sachez vous montrer digne de cet honneur !
Lâchant la main de leur conjoint respectif, les deux femmes descendirent puis remontèrent l’allée latérale en cherchant du regard les mâles susceptibles de leur convenir. Vincent fut naturellement l’un des quatre seuls élus. L’une d’elle le prit par la main et l’entraina tout à l’avant de la salle, au pied de l’écran. Ils furent bientôt rejoints par l’autre gourmande et les trois autres hommes. Les conjoints s’étaient assis, l’un près de l’autre, au premier rang, pour profiter pleinement du spectacle. Un individu sans doute déçu de ne pas avoir été choisi s’approcha du groupe mais l’un des maris bondit et le persuada vertement de ne pas s’imposer davantage. De dépit, l’homme quitta le cinéma.
Tandis qu’Alban Ceray baisait consciencieusement sa partenaire à l’écran, tout aussi consciencieusement, Vincent et son comparse attitré commençaient à dévêtir la dame. Une fois son haut retiré, elle apparut les seins nus. Ceux-ci étaient fermes, lourds et ornés de petits tétons rose pâle très tendus. Chacun se pencha pour les titiller de la langue faisant naitre des soupirs de bien-être chez leur partenaire commune. La mini-jupe noire qu’elle portait disparut aussi bientôt et il s’avéra qu’elle ne portait pas de culotte mais seulement un porte-jarretelles et des bas noirs. Vincent glissa immédiatement sa main sur la fente lisse et déjà humide. Sous la caresse, le petit bouton se contracta et s’érigea. Vincent eut envie d’y goûter. Laissant l’autre homme s’exciter sur les seins, il s’agenouilla devant la jeune femme dont il écarta les jambes et entrepris de la lécher avec délices. Rapidement, elle ruissela. Le délicieux nectar coulait sur la langue de mon beau-père qui s’en régalait.
-Sucez-les maintenant, ordonna un des époux.
Les deux femmes mirent les genoux à terre et prirent en bouche les deux queues que leur tendaient les mâles. Dans des positions strictement symétriques, les deux femelles allaient d’un sexe à l’autre, aspirant, suçant, léchant tour à tour. Vincent vit que les maris avaient ouvert leur pantalon et se branlaient doucement en profitant du spectacle. Il vit qu’autour les candidats malheureux se masturbaient eux aussi. De nouveaux mecs étaient arrivés discrètement. Ils étaient maintenant une douzaine à les admirer, tous queue à la main.
-Messieurs, s’il vous plaît, baisez nos femmes maintenant. Elles n’attendent que cela.
Sans doute selon un scénario convenu d’avance entre eux, les deux femmes se positionnèrent en levrette entre les jambes de leur mari respectif ...
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