Le parking de La Motte-Servolex - Bourget du lac en SAVOIE , vers Chambéry, est une légende en Savoie.

Un terrain de jeu nocturne où les mecs, chasseurs de bite affamés, se croisent sous les néons des lampadaires, échangeant regards brûlants et promesses muettes. Ce dimanche soir, après une journée de taf crevante, je me gare dans un coin sombre du parking, l’adrénaline pulsant dans mes veines.

J’ai 28 ans, un corps musclé mais lisse, un cul rebondi qui attire les regards, et une envie de me lâcher comme jamais. Les phares des voitures balaient l’asphalte, et je sens les yeux des autres mecs sur moi, des silhouettes anonymes prêtes à mater ou à rejoindre l’action.C’est là que je repère Théo, un minet de 24 ans, adossé à sa caisse, une Clio noire garée à quelques mètres. Il est canon : un mètre quatre-vingt, une silhouette fine mais taillée, des cheveux châtains en bataille, des yeux verts qui transpercent, et une bouche charnue qui semble faite pour dévorer. On s’était croisés ici quelques jours plus tôt, échangeant des regards lourds et des mots brefs, juste assez pour savoir qu’on finirait par se sauter dessus. Ce soir, il me fait signe, un sourire en coin. « T’es là pour quoi ? » lance-t-il, sa voix rauque résonnant dans l’air frais. « Pour kiffer », je réponds, descendant de ma voiture, déjà à moitié dur dans mon jean serré.Autour de nous, le parking vibre d’une énergie crue.
Des mecs tournent en voiture, ralentissant pour mater, d’autres se planquent dans l’ombre, leurs silhouettes trahies par le reflet de leurs cigarettes. Théo s’approche, son t-shirt moulant révélant des pecs sculptés et des abdos dessinés. Sans un mot, il m’attire contre sa caisse, ses lèvres s’écrasant sur les miennes. Ses baisers sont sauvages, sa langue fouillant ma bouche, et je sens la chaleur monter, ma queue durcissant contre la sienne à travers nos jeans. Les phares d’une voiture passent lentement, éclairant nos corps enlacés, et je kiffe l’idée que ces « chasseurs de bite » nous matent, leurs regards affamés amplifiant l’excitation.« On va leur donner un show », murmure Théo, un éclat sauvage dans les yeux. Il me retourne, me plaque contre le capot encore chaud de sa Clio, et arrache mon jean, exposant mon cul nu à l’air frais et aux regards indiscrets. Je sens les yeux des autres mecs sur nous, certains s’approchant, leurs silhouettes se dessinant dans la pénombre. Théo baisse son froc, révélant un corps de rêve : torse imberbe, lisse comme du marbre jusqu’au nombril, puis une toison brune épaisse encadrant une queue épaisse, pas énorme mais bien proportionnée, déjà dure et luisante. J’adore ce contraste, ce côté minet propre qui cache un mâle brut en bas.Je m’agenouille sur l’asphalte, le gravier mordant mes genoux, et prends sa queue en bouche. Elle gonfle sous ma langue, chaude, épaisse, son gland salé glissant contre mon palais. Je le suce avec voracité, mes lèvres serrées, alternant entre des mouvements profonds et des coups de langue sur ses couilles poilues. Théo grogne, sa main dans mes cheveux, et je sens les regards des autres mecs autour, certains se branlant dans l’ombre, leurs souffles lourds trahissant leur excitation. « T’aimes te donner en spectacle, hein, salope ? » lâche Théo, et je gémis autour de sa queue, excité par l’idée d’être leur porno vivant.

Il me relève, me retourne contre le capot, et passe en mode 69 improvisé, ma bite dans sa bouche pendant que sa langue attaque mon cul. Sa barbe naissante râpe ma peau, et sa langue s’enfonce, chaude, humide, dilatant ma rondelle avec une précision diabolique. Je gémis, ma voix résonnant dans le parking, et je vois une voiture s’arrêter à quelques mètres, les phares braqués sur nous. Les mecs dedans matent, et je kiffe encore plus, mon cul s’ouvrant sous les assauts de Théo, ma bite palpitant dans sa bouche experte.Je suis au bord de l’explosion. « Baise-moi », je grogne, et Théo se redresse, crachant sur son gland pour lubrifier. Je m’appuie sur le capot, cambré, offrant mon cul à lui et au public invisible. Il me pénètre lentement, son gland épais écartant mon trou, une brûlure délicieuse qui se mue en plaisir brut. Je donne le rythme, ondulant contre lui, ma voix gémissant à chaque coup de reins. Les phares des voitures balaient nos corps, et je sens les regards des chasseurs de bite, certains se rapprochant, leurs queues à la main, excités par le spectacle. Théo accélère, ses couilles claquant contre mes fesses, et je hurle de plaisir, mon corps tremblant sous l’assaut ...

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