Et puis, un jour, Mourad m'a laissé seul à Paris pour aller passer deux mois en Kabylie pour essayer de retrouver des membres de sa famille.
Lui absent, je n'avais plus de soirées à partager, de "clients" à visiter, et comme ma mère était partie pour un Salon professionnel à Boston, je me suis retrouvé seul, livré à moi-même et à mes fantasmes secrets, dans l'appartement parisien que nous occupions Avenue de Ségur.
Mes tenues de sissy étaient restées dans l'appartement de Mourad, et je me suis très vite rabattu sur les dessous de Maman, et la sensualité qui se rattachait à ses parures intimes, m'amena à ressentir un trouble de plus en plus prononcé en y pensant.
Et lorsque, sortant du bain, je me glissai nu dans la chambre de ma mère, je fus aussitôt excité en glissant ma main dans le tiroir de sa commode où se trouvaient ses lingeries intimes. Je sortis l'une de ses culottes, en nylon noir transparent, ornée d'une large dentelle de même couleur, et je l'enfilai, en constatant que le simple frottement du tissu sur ma peau, avait provoqué une érection. Je ne voulais plus être une simple sissy, mais ce soir je voulais être une femme !
J'ouvris alors son armoire et son dressing, et entrepris alors avec soin de me travestir. Porte-jaretelles, bas noirs, un chemisier de soie bleu nuit, une jupe en strech noir serrée... Je n'avais pas de perruque, mais sur mes cheveux blonds mi-longs, je nouai l'un de ses soyeux foulards Hermès en recouvrant ma tête et en le nouant sous mon cou. J'entrepris ensuite de me maquiller, ce que j'avais appris à bien faire avec Mourad. Mais ma mère n'avait pas de rose à lèvres ni de crème claire, et je dus m'adapter à ses produits de maquillage, fond de teint ocré, eye liner et rouge à lèvres !
Je me regardai dans la grande glace et je me trouvais très belle; je minaudai en me caressant, et je jouis presque aussitôt en projetant mon sperme sur la glace de son armoire. Je m'agenouillai alors et nettoyai de ma langue ma semence tiède répandue sur la glace : un délice.
Et c'est là que m'est venu ce désir de sortir travesti dans le rue ! Je ne l'avais jamais fait, ou en tenue de sissy cachée sous un épais manteau, mais seulement en taxi pour aller à mes rendez-vous coquins.
Il me fallut deux jours pour concrétiser ce désir qui me tenaillait et m'excitait tant. J'avais achetés une perruque brune mi-longue, et une paire d'escarpins féminins à petits talons, et je m'entrainai à mieux me maquiller chaque soir un peu mieux, surtout au niveau du fond de teint et des yeux.
Et trois jours plus tard, je fis un premier essai. J'avais attendu une heure tardive, et choisi de revêtir la même tenue que le premier soir. Bien maquillée, et légèrement parfumée, j'ai enfilé le manteau de fourrure de ma mère et noué un grand foulard sur ma perruque, puis je me suis faufilé silencieusement hors de l'appartement. L'épais tapis du couloir étouffa le bruit des talons de mes jolies chaussures à brides, avec lesquelles je m'étais entraîné à marcher longuement dans l'appartement.
Je délaissai l'ascenseur et descendis silencieusement les trois étages sans allumer la minuterie. Arrivé dans le hall, je fus saisi d'un moment d'appréhension, mais la vue à travers la porte en verre et fer forgé de la calme frondaison de l'avenue de Ségur à cette heure tardive m'enhardit soudain, et je pressai le bouton électrique pour dégager la clenche de la lourde porte.
Je me souviens encore des deux premières impressions qui accueillirent mes premiers pas en femme sur l'asphalte du large trottoir : le léger courant d'air frais, qui passant sous ma jupe, vint caresser le haut de mes jambes galbées dans mes bas nylon, et le léger - mais oh combien excitant - crissement de ces deux bas nylon à chacun de mes pas...
Je fermai le col du manteau de fourrure de ma mère et resserai le noeud de mon foulard de soie, et d'un pas de plus en plus assuré, je traversai l'avenue pour me promener sous les grands arbres de l'allée centrale. Je m'y promenai ainsi pendant plus d'une heure, m'enhardissant à quitter l'ombre des arbres pour suivre les trottoirs éclairés, en flânant ainsi dans les rues de mon quartier, avec le seul claquement de mes petits talons pour rythmer ma promenade nocturne. Je croisai quelques passants, dont deux hommes qui me regardèrent avec un oeil intéressé mais n'osèrent pas m'aborder.
J'ai répété cette excitante expérience le soir suivant, en rêvant déjà de le refaire ...en plein jour !
Ma mère m'ayant fait savoir qu'elle allait rentrer dans 4 jours, je me suis vite décidé - ou décidée, puisque je me sentais vraiment femme maintenant ! - à sortir en plein après-midi. Soignant particulièrement mon maquillage, et décidant de nouer mon foulard autour de mon cou, et non plus autour de mon visage, je coiffai soigneusement ma perruque, et enfilant une paire de gants ...
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