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Mes débuts de jeune travesti (5ère partie)

Publié par : sylviafoulard le 22/09/2021

Ma relation avec ce prêtre travesti, devenu pour moi "Madeleine" ma Maîtresse, et mon initiatrice dura environ six mois. Durant toute cette période, nous nous arrangions pour nous retrouver tous les quinze jours, et passer une après-midi voluptueuse dans son petit appartement. Il m'apprit à trouver mon plaisir dans le port de tenues sensuelles et féminines qui me faisaient frissonner de désir chaque fois que je les enfilais. Puis nous nous caressions, et je le suçais, de mieux en mieux chaque fois, ce dont il me complimentait ensuite lorsque je me blotissais dans ses bras et qu'à son tour il me caressait mon petit sexe et qu'il recueillait ensuite entre ses lèvres, le fruit de mes excitations. Madeleine ne me força jamais et ne me dépucela pas, ce dont je lui fus reconnaissant, tant cet acte de défloraison me faisait peur, par la crainte d'une douleur et la pudeur de garder mon corps vierge.
Et puis un jour, où je le rencontrais en soutane dans la sacristie, il m'annonça son départ, sa mutation dans une petite paroisse rurale, au coeur du Massif Central ! Je compris à demi-mots qu'il avait été dénoncé et suspecté d'amours avec de jeunes garçons comme moi, et que cette mutation était une sanction. J'ai pleuré de devoir le quitter, et il m'a assuré que notre relation resterait secrète, mais que je devais me tenir éloigné de lui jusqu'à son départ en province. Nous ne pûmes même pas nous voir chez lui de façon intime, et comme cadeau d'adieu, il m'offrit l'une des soyeuses culottes de satin rose que j'adorais porter en sa présence. Il me dit "Sylvie, sois prudente désormais que tu connais ces plaisirs partagés avec moi. Vis ta vie de jeune garçon sans honte et penses à moi lorsque tu te caresseras en souvenir de nos après-midis". Puis il m'embrassa rapidement et nous nous quitâmes. Je ne l'ai plus jamais revu, mais j'ai très rapidement su, que les plaisirs découverts avec lui ne me quitteraient pas de sitôt...
A l'époque j'étais déjà jeune lycéen, et je vivais seul avec ma mère depuis son divorce avec un père que j'avais à peine connu, et qui vivais en Indochine française avec une nouvelle femme. Maman travaillait pour un grand groupe de cosmétiques, et y dirigeait le département commercial, ce qui l'obligeait à de fréquents voyages, en province ou à l'étranger, et elle me laissait alors seul dans l'appartement familial, sous la relative surveillance de ma jeune Marraine (elle n'avait que dix ans de plus que moi) qui habitait près de chez nous dans une résidence pour jeunes filles, tenue par des religieuses. C'est d'ailleurs à l'initiative de ma Marraine que ses amies de la résidence m'avaient travesti en fille et m'avaient emmené à un spectacle musical ...où j'avais rencontré l'abbé Musseur, "Madeleine", mon initiatrice en amour.
"Madeleine" était partie, avec sa fantastique collection de lingerie sensuelle et sexy ne me laissant qu'une délicieuse culotte rose bordée de dentelle, que j'avais cachée sous mes slips de garçon. Et c'est en repensant à toutes ces lingeries soyeuses que j'allais dans la chambre de ma mère, espérant y trouver d'autres merveilles. Et c'est dans l'un des tiroirs de sa commode que je découvris des culottes, caracos, combinettes et bas... Devant ces bouillonnés de soie, de satin, de nylon et de dentelle, j'ai enfoui mon visage, à la découverte de ses parfums les plus intimes, et je me suis caressé jusqu'à l'éjaculation dans l'une de ses culottes, que j'emportais dans ma chambre et que je suçais ensuite avec un plaisir extrême, tandis que mon petit sexe se redressait de nouveau.
De ce jour, j'ai commencé à porter des dessous féminins sous mes habits de lycéen. D'abord une culotte soyeuse, puis je pris l'habitude de rajouter un porte jaretelles auquel je rattachais des bas nylon, et une combinette de satin bordée de dentelle sous ma chemise de garçon.
C'est ainsi que je me promenais, sentant la douceur de la soie et du satin sur ma peau qui me procuraient des ondes de plaisir. J'évitais de le faire le jour de l'éducation physique où nous nous déshabillions dans le gymnase; mais dès que je le pouvais, je me parais des dessous de Maman.
Et puis, une après-midi pluvieuse où j'étais allé au Cinéac Montparnasse avec en plus un soyeux foulard de ma mère noué autour de mon cou, je fus caressé par un homme, très vite suivi d'un autre, qui m'encadrèrent dans la salle obscure ...et baissant ma braguette découvrirent me ...

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