Voilà comment tout a commencé….
35 ans, pleine force de l’âge, sportif, heureux en amour comme au travail, j’étais totalement heureux. Sexuellement hétéro, je prenais aussi du plaisir à regarder des films gays ou bisexuels.
Je me dirigeais comme trois fois par semaine vers ma salle de sport, Paris 15ème, près de l’héliport ; oui celle avec une grande piscine, j’étais membre.
Après ma séance de musculation, une bonne douche m’attendait. Dans le vestiaire, nous étions une bonne vingtaine. Je m’amusais à mâter discrètement les autres hommes qui aimaient à déambuler totalement nus de la douche à leur casier. Comme toujours j’étais assez excité après la muscu... Je choisis une cabine de douche fermée et non pas les collectives. Je savais que certaines cloisons étaient perforées et que je pouvais regarder en me caressant les autres hommes nus. Même si j’aimais avoir une jouissance en contemplant un mec à poil, jamais je n’avais eu de rapport homosexuel, ni même d’attouchement.
Nu, le sexe légèrement gonflé de désir, je pris une bonne douche… Tenté, je regardais par le petit trou de la cloison : un homme plutôt jeune, totalement imberbe, adossé au mur, l’eau ruisselant sur son corps se masturbait lentement. Très vite, mon engin se dressa. Je le caressais en regardant le spectacle d’à côté…
Soudain, la porte de ma cabine s’ouvrit ; j’avais oublié de mettre le loquet. L’homme me regardait, surpris. Ma main sur mon sexe durcit ne laissait aucun doute sur ce que je faisais. Il bredouilla un « excusez-moi » et refermât la porte. Ma main n’avait pas encore atteint le loquet qu’elle se réouvrit.
L’homme souriait, jeta un regard dehors et entrât dans ma cabine. En maillot de bain noir, la soixantaine athlétique, torse poilu, viril, il en jetait pas mal. Sa serviette accrochée, il retirât son maillot, dévoilant un bel engin. Il s’approchât et fit couler la douche. Nous étions tous les deux, face à face, sous l’eau… Il fit couler du gel douche sur mon dos et commença à me savonner. Pétrifié, je ne bougeais pas mais c’était fort agréable. Ses mains arrivèrent sur mes fesses, puis entre. Le savon se répandait partout, ses doigts insistant sur mon petit trou, je lâchais un gémissement. Il sourit. Je retournai face à lui. Nous étions tellement proche que nos sexes se touchaient. Il entreprit de nous ...

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