Mon téléphone vibre, c'est un sms, laconique. "je suis en bas". Je réponds avec le code d'accès pour qu'il puisse rentrer. Puis je vais ouvrir ma porte. Comme à chaque fois que je reçois un homme autoritaire, je suis inquiète et excitée. j'ai laissé ma porte, entrouverte juste assez pour qu'il la repère facilement, puis je suis revenu me mettre à quatre pattes sur mon canapé et j'attends. Les secondes semblent des minutes, c'est long. Enfin j'entend le bruit de l'ascenseur. la lumière du couloir qui s'allume, puis des pas, ma porte qui est poussée et refermée. il est la, dans le pièce, je fais des efforts pour me cambrer correctement et avoir l'air la plus salope possible, je ne le regarde pas. Rien ne semble se passer, il va me toucher oui...
-Tu m'as fait du café?
le voix est mâle, autoritaire. je répond un "oui monsieur" en espérant que ma déception d'avoir eu aussi peu d'effet ne se sente pas.
-Alors sers le moi, reste pas la à rien foutre!
Mince je suis surprise, piquée, je me lève, je lisse ma jupe et je vais vers la table ou, pendant qu'il s'assoie je lui rempli sa tasse.
Il à la cinquantaine, plutôt grand, cheveux grisonnants, courts il porte un sweat shirt bleu marine. pas le genre d'homme qu'on à envie de contredire.
-Le sucre est là si vous voulez. Je lui désigne le sucrier. - Met moi en un! je m'exécute. Je me rend bien compte que mon rôle de soubrette n'est pas au top. - Qu'est ce que tu peux être gourde! Prends la cuillère et remue! je m'exécute.
- J'espère qu'il est bon ton café. Pendant que je le boirais, je veux que tu te mettes à mes pieds et que tu me lèches mes pompes!
- Bien monsieur. Obéissante je me met à quatre pattes et je commence à lécher ses mocassins en cuir marron, la classe.
-Couchée! j'ai dis à mes pieds, j'ai pas dit à quatre pattes! je me laisse glisser sur le carrelage et je re-commence à lécher;
-Prend bien la chaussure entre tes deux mains, et lèche la doucement, amoureusement.
Je m'exécute en essayant de lécher de manière sensuelle.
- Très moyen ce café, ça laisse à désirer!
Je fait toujours mon café à mon goût, c'est à dire plutôt long, le fait que ça ne lui plaise pas ne me fait ni chaud ni froid. Pour l'instant je m'applique à lécher sa chaussure. Je sens sa main qui saisi mes cheveux. Il me tire la tête vers le haut et en arrière.
- Toi, je sens qu'on va avoir du travail pour te dresser! Tu veux que je fasses de toi une bonne chienne?
- Oui Monsieur.
-Ouvre la bouche! Plus grand et sors ta langue. Allé, tient la gourde, avale ton café! Il me vide ce qui reste de sa tasse dans la bouche et je l'avale. Il repose la tasse et me met une claque, puis une deuxième.
-Tu vas l'ouvrir ta bouche espèce de gourde! et sors moi cette langue bon sang.
J'ouvre autant que je peux, pratiquement à m'en déboîter la mâchoire, puis je sors ma langue le plus possible. Il s'approche et me crache dans la bouche, une fois, deux fois, je m'efforce de la maintenir ouverte, après le café, je sens sa salive qui me coule le long de la langue. Il se penche au dessus de moi et je sens qu'il me relève ma jupe au dessus de la taille.
- La qu'on voit un peu ce que t'as à offrir. T'as mis tellement de photos de ce cul sur internet que ça serait dommage que j'en profite pas maintenant. T'aime ça que les hommes voient ton cul!
-Oui monsieur.
-T'es une petite pute et t'aime être baisée. j'en suis sur. Dit le salope.
-je suis une petite pute et j'aime être baisée.
- Oui, c'est bien. Maintenant met tes mains dans le dos! Et garde les bien derrière toi sinon je t'attache!.
il me met encore une claque; Puis une autre, elles commencent à être fortes, mes joues me brulent. Il passe un doigt sur ma langue, puis le rentre dans ma bouche, vers la gorge, voila que ce salaud me fiste la bouche, j'étouffe, j'ai envie de tousser je sens des spasmes de vomi, il me tient solidement la tête en arrière par les cheveux, il c'est levé pour parfaire son oeuvre, il lime ma bouche avec sa main.
Je sens que je n'ai pas interêt à enlever mes mains de mon dos, pourtant je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Heureusement, il ressort sa main avant je craque. J'ai réussi à garder les mains dans le dos mais sens les larmes qui coulent, la salive gluante me sors de la bouche, je tousse, je reçois à nouveau deux claques, fortes, il me crache encore dans la bouche et sur le visage, il étale la salive et les larmes sur mon visage.
-P'tite gourde combien de bites tu crois qu'on peu te mettre dans la gueule? Je connais des mecs bien monté, t'ouvre à peine assez pour les prendre, si on te mettais avec eux ça serait un massacre. Tiens en attendant lave mon cul!
la dessus il baisse son pantalon et me présente son postérieur.
-Léche, profite de ta gueule bien humide pour le nettoyer, et correctement!
A genoux, je m'applique à le lé ...

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