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le sexcretaire

Publié par : sallynympho le 01/07/2025
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Je suis arrivée au bureau avec ce mélange d’excitation et de nervosité qui me colle toujours quand je démarre une nouvelle journée. Ma micro-jupe noire en vinyle moulait parfaitement mes jambes ; mes escarpins rouges à talons aiguilles claquaient sur le sol comme une invitation impossible à ignorer. Mon chemisier en satin rouge refusait de se fermer correctement à cause de mes faux seins généreux qui débordaient outrageusement, et j’avais pris soin de maquiller mes lèvres d’un rouge profond, histoire de garder ce petit feu allumé en moi.
À chacun de mes pas, mes hanches ondulaient avec une générosité étudiée, balançant mon bassin dans une danse lente et provocante. Mes fesses, moulées dans le vinyle luisant, se tortillaient délicieusement à droite puis à gauche, comme si elles traçaient une invitation invisible sur le sol. Ma démarche était une caresse pour les regards, un murmure silencieux qui disait : « Viens, ose m’aborder. » Chaque mouvement était un appel, une provocation savamment dosée, irrésistiblement suggestive.
Dans la rue, quand des hommes me sifflent, je me retourne lentement, les yeux mi-clos et un sourire enjôleur aux lèvres. Parfois, je leur adresse un clin d’œil audacieux ; d’autres fois, je leur envoie un baiser avec la main, sensuellement, comme pour prolonger leur fantasme. J’adore ces instants où tous les regards convergent vers moi, où je me sens reine, totalement assumée dans le désir que je déclenche sans même avoir à parler.
J’ai toujours, bien rangées dans une petite pochette de mon sac à main, plusieurs cartes de visite très personnelles. Mon prénom, mon numéro, et juste en dessous, une phrase simple : "Appelle-moi si tu veux vraiment t’amuser." Je les distribue sans hésitation à tous les hommes qui me plaisent, ceux dont le regard s’attarde un peu trop sur mes cuisses, ceux qui me dévorent des yeux sans oser faire un pas. J’adore ce moment où leurs doigts effleurent la carte : un frisson passe entre nous, un message silencieux mais brûlant.
Alors que je poussais la porte vitrée, j’ai croisé le regard du directeur qui venait tout juste d’arriver. L’homme dégageait une autorité calme, un costume impeccablement taillé, et ce sourire en coin qui savait parfaitement ce qu’il voulait. Il m’a lancé un « Bonjour, Sally » d’une voix grave, et j’ai senti un frisson me parcourir.
— Bonjour, Monsieur, ai-je répondu en plantant mes talons dans le sol, mon regard accroché au sien un peu plus longtemps qu’il ne fallait.
Je suis restée une seconde de plus, cambrant légèrement mon dos pour faire saillir ma poitrine sous mon chemisier tendu. J’ai vu ses yeux glisser furtivement sur mes seins, puis redescendre sur mes jambes croisées de vinyle. Ce n’était qu’un éclair, mais je l’avais perçu. Et ce frisson, ce tout petit frisson de pouvoir, m’a fait sourire intérieurement.
Je savais que ce poste de secrétaire ne serait pas de tout repos. Ici, tout allait se jouer dans les regards, les silences, les petites attentions volées. Et moi, j’étais prête à jouer le rôle qu’il fallait, à me faire remarquer sans jamais perdre le contrôle. J’étais venue pour être bien plus qu’une employée modèle : j’étais prête à devenir son obsession discrète.
À neuf heures précises, le téléphone de mon bureau a sonné. Mon cœur a accéléré aussitôt. Je savais que c’était lui. Sa voix grave et posée s’est glissée dans l’écouteur :
— Sally, venez dans mon bureau, s’il vous plaît.
Je n’ai pas répondu, juste souri. J’attendais cet instant depuis que j’avais croisé son regard en entrant. J’ai pris mon temps pour me lever, lissant ma micro-jupe d’un geste lent, ajustant un peu plus mon chemisier qui bâillait déjà sur ma poitrine gonflée d’anticipation.
Quand je suis entrée dans son bureau, il a fermé la porte derrière moi sans un mot, d’un geste lent et lourd de sens. Le cliquetis du verrou a résonné dans l’air comme une ponctuation érotique. Son regard s’est posé sur moi, long, brûlant, presque possessif. Il a glissé de mes cuisses gainées de vinyle jusqu’à mes seins trop pleins pour mon chemisier, s’attardant un instant sur le bouton prêt à sauter. Ses yeux me déshabillaient sans détour, et j’ai senti une chaleur diffuse monter de mon ventre à ma poitrine.
Je n’ai rien dit. Je me suis avancée, un pas après l’autre, mes talons résonnant doucement sur le parquet ciré. Chaque mouvement de hanche, chaque oscillation volontaire de mon corps, était une offrande silencieuse. Je me suis arrêtée à un mètre de lui, le regard planté dans le sien, les lèvres entrouvertes, la poitrine soulevée par ma respiration déjà troublée.
Je savais ce qu’il voulait. Et il savait que je n’attendais que ça. Mon sexe était déjà moite, palpitant sous ma jupe si courte, si provocante, à peine un souffle entre mes jambes et la tentation. Mon cœur battait plus fort, mes lèvres étaient entrouvertes, mes cuisses se serraient avec une impatience qu’il n’aurait pu ignorer.
Il a fait un pas vers moi, lentement, et j’ai senti son souffle chaud sur ma peau nue, juste au creux de mon cou. Un frisson délicieux m’a parcourue de l’échine jusqu’au creux de mes reins. Je suis restée là, offerte, le regard accroché au sien, m’abandonnant sans un mot. Ses doigts ont effleuré mon bras, remonté le long de ma manche, puis ses mains se sont posées sur mes hanches, fermes, possessives.
— Tu es magnifique, a-t-il soufflé, presque dans un râle contenu.
J’ai basculé la tête légèrement en arrière, lui offrant davantage ma gorge, mes seins tendus sous le tissu trop serré. Il a glissé un doigt sur le bouton central de mon chemisier, celui qui ne tenait plus que par miracle. Je n’ai pas bougé. J’avais envie qu’il le fasse sauter lui-même, qu’il déchire cette barrière fragile entre lui et ma poitrine impatiente.
Le bouton a cédé avec un claquement sec. Mon soutien-gorge en vinyle noir, gonflé par mes faux seins, luisait doucement sous la lumière du bureau. Il a posé ses mains dessus, les a soupesés, lentement, méthodiquement, comme s’il savourait chaque centimètre, chaque rebond sensuel sous ses paumes.
Je gémissais déjà à peine, le souffle court, incapable de cacher mon excitation. Mes jambes fléchissaient légèrement sous le plaisir brut de ce contact. Il m’a plaquée contre son bureau d’un geste décidé. Mon bassin a heurté le bois avec un soupir de surprise mêlé de désir pur. Il a collé son corps au mien, me dominant de toute sa hauteur, son regard brûlant planté dans le mien.
— Tu es à moi ce matin, m’a-t-il dit d’une voix rauque. Rien qu’à moi.
Et j’ai hoché la tête, soumise, heureuse, offerte. Ravie d’être exactement ce qu’il voulait. Je n’étais plus que ça : un corps tendu vers le sien, un plaisir prêt à exploser sous la moindre pression, une salope magnifique en vinyle venue pour se faire consommer, dévorer, savourer.
Il a glissé une main sous ma jupe, a écarté ma culotte sans cérémonie. Mon sexe, trempé, palpitait sous ses doigts. J’ai gémi, le dos cambré, mes ongles s’accrochant au rebord du bureau. Je voulais tout. Je le voulais en moi, maintenant. Et je savais qu’il le sentait.
Il a reculé d’un pas, ses yeux plantés dans les miens, et d’un geste assuré, il a ouvert sa braguette. J’ai vu son membre jaillir, tendu, imposant, palpitant. Mon souffle s’est coupé. Je me suis laissée glisser à genoux devant lui, avec une lenteur presque cérémonieuse. Mes mains tremblaient d’impatience quand je l’ai saisi, chaud, lourd dans ma paume. Mes lèvres se sont ouvertes, et je l’ai accueilli dans ma bouche avec une gourmandise affamée.
Je l’ai sucé lentement d’abord, jouant avec ma langue, le regard levé vers lui pour capter la moindre de ses réactions. Ses doigts se sont mêlés à mes cheveux, me guidant dans un rythme plus profond, plus pressant. Je le voulais entier, profondément. Mes joues creusées, mes lèvres humides, mon rouge à lèvres laissé en trace sur sa peau tendue – j’étais dans mon élément. Sa respiration s’accélérait, ses gémissements sourds me faisaient vibrer. J’aimais le sentir perdre le contrôle.
Mais il m’a stoppée. Il m’a relevée d’un geste ferme, et m’a retournée contre le mur. J’ai posé mes mains à plat contre la surface froide, cambrant instinctivement mes reins, offrant mes fesses rebondies gainées de vinyle. Il a relevé ma jupe, l’a repliée au creux de mes reins, et a entrouvert mes cuisses d’un coup de genou. J’étais prête, offerte, déjà trempée.
Il m’a pénétrée d’un coup sec, profond. J’ai crié de plaisir, la tête basculée en arrière. Il me prenait comme je l’avais espéré : fort, sans ménagement, ses mains agrippant mes hanches pour mieux me marteler. Le choc de nos corps résonnait dans le bureau, ponctué de mes gémissements devenus cris, de ses râles rauques. Mon front collé au mur, mes seins ballottant à chaque poussée, je me sentais vivante, possédée, honorée.
Et quand il a plaqué une main sur ma bouche pour étouffer mes cris trop bruyants, mon orgasme a éclaté en moi comme une décharge brûlante. Je me suis cambrée de tout mon long, secouée de spasmes, tandis qu’il accélérait encore, jouissant peu après dans un grondement de plaisir animal.
Je suis restée là, haletante, le front contre le mur, le corps ruisselant de plaisir. Une salope heureuse. Sa salope du matin.
Je redescends à genoux, les jambes encore tremblantes, et saisis délicatement son membre encore chaud, recouvert de notre plaisir mêlé. Ma langue s’y attarde, lente et dévouée, traç ...

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