Salut à tous,
J’ai eu il y a maintenant quelques semaines une belle et impressionnante histoire de cul à plusieurs et en extérieur pas loin de chez moi.
Après quelques messages un peu chaud sur le site, et une rencontre bien hot sur le parking de la piscine où je me suis fait pomper par une petite salope bien chienne, rien que d’y penser, j’ai encore la sensation de cette bouche accueillante et chaude qui m’a pompé à crue dans la voiture du taf ce jeudi soir de semaine... à la lisière du bois, sur le parking derrière la piscine de St germain... j’ai pris l’habitude le jeudi en sortant du taf de me faire sucer par cette petite salope.
4 ou 5 semaines de suite, le rituel était le même. Je me garais à côté de lui, il sortait en premier, je le suivais vers le bois.
Après quelques dizaines de mètres sous les arbres, en bordure de sentier, il se mettait à genou. J’arrivai là, près de lui, je déboutonnais mon pantalon et il me pompait goulûment, avec douceur puis vigueur jusqu’à ce que je lui donne mon jus, tout mon jus dans sa bouche, dans sa gorge, parfois aussi sur le visage.
C’était bon.
A notre avant dernière rencontre il m’a demandé si il pouvait venir avec un ami bi actif et passif pour imaginer d’autres scénarios. Pourquoi pas...

La semaine suivante, je me gare à côté de sa voiture. Ils sont deux, lui est visible sous la lumière de la façade de la piscine. Son copain dans le noir, j’ai le cœur qui accélère comme avec un peu d’apprehension. Ils sortent et ne se retournent pas. Je les suis.
Arrivé à notre « emplacement » le premier se met à genou, l’autre passe derrière moi. Je l’entends souffler dans mon coup et dire : à poil!
Je descend mon pantalon de costume, le premier descend mon caleçon et commence à me tripoter la queue déjà bien dure avant de l’enfourner.
Le second toujours derrière, un grand gaillard, peut être 1m95 ou plus, blanc au cheveux courts avait debouttonne son fute et commençait à se caresser en le regardant donner des coups de reins dans la gueule de son pote. Il se rapproche à nouveau et m’enlace pour enlever ma veste et déboutonner ma chemise. C’est clair, je vais passer à la casserole. Mais je suis encore plus excité. Ma queue devient encore plus dure, mes tétons aussi.
Il prend une bouteille dans sa poche, du lubrifiant. S’en verse sur les doigts et commence à me doigter lentement en tenant mon coup à la base de mon crâne. Il contrôlait les va et bien dans la bouche de celui à genou en poussant de plus en fort avec un puis deux doigts dans mon cil. Il poussait, bien au fond, jusqu’a la garde. Mon cul devenait chaud, presque en feu, je sentait mes battements dans mes veines à chaque va et vient.
Il métra alors 3 puis 4 doigts après une rasade de gel. Hummmm. C’etait bon. Il le défoncait avec sa main depuis quelques minutes qu’à d je joui dans la gueule du premier. Il me poussa vers l’avant, je tombait à genou, nu. Il continuait à pilonn ...

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