Il y a quelques mois, après un vilain choc au genou qui refusait de guérir, mon médecin m’a envoyé faire un bilan radiologique pour y voir plus clair. Je suis un mec hétéro, en couple, mais depuis un moment, je me surprenais à fantasmer sur des plaisirs que les hommes, soyons honnêtes, savent mieux offrir. Une curiosité qui grandissait, un désir refoulé qui pointait son nez. Bref, me voilà au cabinet de radiologie, un peu nerveux, sans trop savoir à quoi m’attendre.
Un technicien m’accueille, la trentaine bien tassée, brun, baraqué juste ce qu’il faut, avec un air nonchalant qui ne me fait ni chaud ni froid au premier abord. Il m’indique une cabine, me demande de virer pantalon et chaussures, puis me laisse là, planté comme un idiot en boxer, à attendre. Les secondes s’étirent, je commence à me sentir con, quand soudain, il toque et m’appelle pour sortir. Direction la salle d’examen : une plateforme, une machine imposante, et moi, debout, à moitié à poil.
Les clichés s’enchaînent – de face, de profil, un pied sur une marche. Le mec s’accroupit devant moi pour ajuster mes positions, une main ferme sur mon genou blessé, l’autre qui effleure ma hanche. Et là, sans crier gare, une chaleur traîtresse monte dans mon bas-ventre. Mon boxer devient subitement plus étroit, mon sexe se réveille, pas encore raide, mais clairement en alerte. Je tente de me calmer, de penser à autre chose – ma facture d’électricité, n’importe quoi – mais rien n’y fait. Il revient après un cliché, et je jurerais que son regard s’attarde une seconde de trop sur la bosse naissante sous le tissu. Pas un mot, juste un silence lourd.
Nouvelle pose, profil cette fois. Sa main glisse carrément sur ma fesse pour me guider, un contact franc, presque possessif, qui m’électrise malgré moi. Je sens mon pouls s’accélérer, mon érection qui menace de trahir mes efforts. Il me lance un « reste comme ça » avec une pointe d’amusement dans la voix, comme s’il jouait avec moi. Puis il me fait pivoter dos à lui, me demande de fléchir les jambes. Ses deux mains s’emparent de mes hanches, fermes, assurées, et descendent légèrement pour accompagner le mouvement. Ce petit enfoiré sait exactement ce qu’il fait, et moi, je suis à deux doigts de craquer.
Les derniers clichés terminés, il m’annonce que c’est fini et propose de me raccompagner à la cabine. Je tire sur mon sweat pour planquer la tente qui déforme mon boxer, mais nos regards se croisent, et cette fois, c’est clair : il a vu, et il s’en fout pas. Il ouvre la porte, me laisse entrer, puis se glisse derrière moi avec un clin d’œil qui achève de faire tomber mes défenses. J’actionne le verrou, le cœur battant. Plus de retour en arrière possible.
Il s’agenouille devant moi, mais mon genou n’est plus sa priorité. Ses doigts effleurent ma queue à travers le tissu, un frôlement qui me fait frissonner. Autour de nous, le brouhaha du couloir, des pas, des voix étouffées – tout ça rend la scène encore plus dingue. Sans un mot, il baisse mon boxer d’un coup sec, libérant ma bite qui se dresse fièrement sous son nez. Il la mate, un sourire en coin, comme s’il évaluait un trésor, puis lève les yeux vers moi. Mon silence vaut tous les oui du monde. D’une main, je l’attrape par la nuque et le guide. Il n’attendait que ça : sa bou ...
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