Un soir d’ennui mortel au taf, à Paris, dans un bar branché du Marais, je bosse jusqu’à 22h. La journée est longue, et la seule chose qui me tient, c’est cette envie brûlante de me faire démonter après le service. Sur une appli, je tombe sur un mec, un pur actif, qui me chauffe direct. On parle, et là, bim, il me propose un plan cul. Problème : je suis actif aussi, mais j’adore sucer, alors je lui dis : « OK, je te pompe, mais pour le reste, on verra. » Il me répond qu’il est dispo seulement plus tard, genre vers minuit. Pas grave, je finis mon shift, je rentre crevé dans mon appart au rez-de-chaussée à Bastille, et je me reconnecte.

Surprise, il m’écrit : « Finalement, je peux ce soir. J’ai grave envie de te baiser. » Je lui dis que je suis pas trop branché passif, mais il insiste : « Laisse-moi au moins jouer avec ton cul. » Je cède, intrigué, déjà à moitié dur rien qu’à l’idée. « Vas-y, viens. » Il débarque à minuit pile, un mec de 30 ans, genre rugbyman, grand, musclé, un regard de feu. Il passe par la fenêtre de ma chambre – discrétion oblige, j’ai des colocs. À peine entré, il se désape en deux secondes, dévoilant un corps taillé et une queue énorme, épaisse, prête à l’emploi. Je bande direct.

On commence soft : des baisers profonds, sa langue qui explore ma bouche, ses mains qui pétrissent mes pecs. Puis je me mets à genoux, et là, je m’attaque à sa queue. Je le suce comme un affamé, une bonne demi-heure, en alternant entre sa tige et ses couilles, le sentant gémir sous mes coups de langue. Il me caresse la nuque, me guide, me traite de « bon suceur ». Je kiffe. Soudain, il me retourne, me plaque sur le lit, et commence à effleurer mon cul. Ses doigts, enduits de lubrifiant, s’insinuent doucement. Un, puis deux. Ça me fait frissonner, mais putain, c’est bon. Il me regarde, un sourire vicieux : « On tente plus ? » Je suis tellement excité que je lâche un « Vas-y ...

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