Pure fiction pour le plaisir d'un ami du site...
La journée de rassemblement de bikers avait été gentiment arrosées aussi avait-il décidé de prendre les chemins de traverse pour regagner leur maison… Cette nuit d’été était chaude voire lourde car l’orage menaçait à l’horizon.
Encore une quinzaine de kilomètres de cette petite route contournant les marais et ils seraient chez eux… Le ronronnement du moteur de la Harley le berçait presque, le contact du corps d’Anne, sa femmes, lovée derrière lui procurait un plaisir indicible.
Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas trouvé aussi rayonnante, sensuelle… et pas lui seulement car il avait surpris quelques regards appuyés de ses potes reluquant sans vergogne sa volumineuse poitrine et ses fesses… le retour à la maison avait toutes les chances d’être chaud…
Un toussotement du moteur le tira de ses pensées. L’accélérateur ne répondait plus et l’engin perdit rapidement de sa vitesse… la panne, à une heure du mat, en pleine cambrousse avec un orage menaçant… le pied.
Comme il le craignait, aucun moyen de joindre qui que ce soit dans cette zone loin de tout, privée de couverture téléphonique… Ils allaient donc devoir trouver de l’aide dans le secteur.
Fort heureusement de la lumière était visible à proximité et ils poussèrent tous deux le lourd engin dans le chemin menant à ce qui se révéla être un corps de ferme en mauvais état devant lequel étaient stationnées plusieurs voitures et camionnettes.
Des rires et éclats de voix masculins étaient perceptibles de l’extérieur. L’ambiance était tellement sonore que Pascal dû frapper trois fois à la porte avant qu’elle ne s’ouvre, laissant apparaitre une pièce enfumée dans laquelle se trouvait quatre hommes dont trois assis autour d’une grande table jonchée de bouteilles et de verres. Le quatrième, qui leur avait ouvert, s’avéra plutôt sympa, assez grand, la quarantaine, sportif, cheveux longs boucles d’oreilles et tatouages était également motard… donc solidaire et partant pour charger la moto dans une des camionnettes et les déposer chez eux, mais pas dans l’immédiat…
Anne était restée derrière Pascal mais lorsqu’elle fit son entrée dans la pièce, les échanges entre les trois comparses attablés cessèrent immédiatement et leurs yeux semblèrent passer littéralement au scanner son corps plantureux notamment pour deux d’entre eux dont un colosse au physique de docker xxl. Le regard de Pascal croisa celui du troisième homme dont le visage ne lui était pas inconnu sentiment confirmé par le fait que l’individu affichait un léger sourire inquiétant en le dévisageant…
Sa femme était très décontractée et souriante malgré l’ambiance un peu glauque. Elle accepta le grand verre d’alcool que lui tendit le maitre des lieux. Puis retira son blouson et s’assit à la table laissant apparaitre sa lourde poitrine sous son teeshirt moulant. Pascal nota immédiatement que ses tétons pointaient signe que la miss se trouvait dans un état de sensualité inhabituel chez elle, sans doute dû aux regards dont elle avait été l’objet tout au long de la journée.
Pascal aurait été finalement très fier de la situation si son esprit n’avait pas été occupé à retrouver dans quelles circonstances il avait croisé ce troisième homme. Ce dernier continuait à l’observer malicieusement comme s’il s’amusait de l’état d’interrogation dans lequel il se trouvait, guettant le moment où il se souviendrait des circonstances de leur rencontre… Le visage du biker se figea soudain…
Deux mois plus tôt à une vingtaine de kilomètre de là, un rendez-vous près d’un étang isolé fixé sur un site de rencontre gay… il était arrivé sans décrocher un mot et lui avait ordonné de baisser son jean et de prendre appui face à sa voiture puis, après avoir écarté ses fesses et craché sur sa rondelle il avait enfoncé d’un seul coup sa longue et fine bite dans son cul jusqu’à la garde… ce soir-là, il avait ressenti l’impression de se faire violer, la brutalité de la pénétration, la douleur rapidement remplacée par un sourd plaisir que lui procuraient les coups de boutoir qu’il lui assenait, ses lourdes couilles battant les siennes avec une régularité de métronome… Il le pilonna ainsi pendant de très longues minutes jusqu’à ce qu’il pousse un bref gémissement et que Pascal sentent la semence abondante et brulante se répandre dans son ventre. L’homme le fit alors se retourner puis s’agenouiller pour qu’il nettoie méticuleusement sa bitte encore tendue et couverte de sperme odorant…
Il fut tiré de ce souvenir par le rire de sa femme en pleine discussion avec le reste du quatuor qui lui racontant des blagues salaces… Celui qui s’était vidé en lui continuait à le regarder avec un amusement moqueur… Il était à sa merci, risquant que sa chère et tendre épouse soit mise au courant de sa bisexualité soumise… la cata…
Assise à côté de lui, Anne était bien loin de ses préoccupations et l’intensité de ses rires lui fit penser qu’elle commençait à en tenir une sacré couche… Cela faisait très longtemps qu’il ne l’avait pas vu dans un tel état d’ébriété..
A l’autre bout de la table, le « troisième homme » se rapprocha des deux compères qui amusaient tant Anne depuis un petit moment avec leurs blagues cochonnes et leur murmura quelque chose aux oreilles tout en fixant Pascal avec un air narquois. Ce dernier n’apprécia pas du tout l’expression vicieuse qui éclaira alors le visage des trois hommes et une sourde inquiétude commença à diffuser en lui… ses craintes commencèrent à se confirmer lorsqu’il fut demandé au maître de maison de mettre de la musique…
Les premières notes eurent un effet immédiat sur Anne qui commença à dodeliner de la tête en rythme. Le colosse se leva alors et s’approcha d’elle pour l’inviter à danser. Elle ne chercha même pas à obtenir l’accord de son mari et se leva d’un bond pour se lancer dans une langoureuse danse latino, ondulant sensuellement devant son partenaire.
Le contraste est saisissant entre cette force de la nature en bermuda , tongs aux pieds, et Anne avec ses belles rondeurs moulées par son jean et son tee shirt. Il la dépassait facilement de deux têtes lui donnant une apparence de fragilité. Leur danse était de plus en plus sensuelle et la belle commençait à onduler des fesses à quelques centimètres seulement des hanches de son partenaire.
Ce dernier avait les yeux rivés tantôt sur la poitrine ballotante tantôt sur les fesses ondulantes d’Anne qui jouait désormais ouvertement la provocation.
L’atmosphère était lourde, moite et suffocante. Pascal était trempé de sueur. Toujours assis, en spectateur passif et abasourdi par l’audace de sa femme, il avait l’impression que son cerveau allait exploser tant Il était traversé par des sentiments alternant honte, peur mais aussi étrange excitation. Jamais en 36 ans de vie commune il ne l’avait vu dans cet état et il avait presque devant lui une étrangère, une femelle en manque de mâle, de queues dressées à satisfaire…
Pour accroitre encore son malaise, il sentait le regard pesant de celui qui l’avait pris si sauvagement un soir… Il devinait que ce dernier, fumant un joint dans le coin opposé de la pièce, devait prendre un pied fou à humilier et soumettre ce biker en blouson de cuir qui était en train de voir sa femme devenir la proie de mecs aux intensions plus qu’évidentes…
Les titres latinos se succédaient et le géant, qui tenait désormais fermement Anne par la taille, fit signe à son comparse resté attablé de venir les rejoindre. Le nouveau venu se positionna derrière le duo de sorte qu’Anne était prise en tenaille entre les deux hommes qui se plaquèrent immédiatement contre elle.
Pascal fut choqué par la passivité de sa femmes dont il apercevait le visage aux yeux mi-clos, un léger sourire aux lèvres…
Elle fut soudain prise d’un sursaut et ses grands yeux s’écarquillèrent de surprise…L’homme placé contre ses fesses venait de glisser sa main gauche sous son tee-shirt en direction de sa lourde poitrine pendant que son autre main semblait s’être dirigée dans la poche avant droite du jean de la belle, pressant son pubis… Le moment de surprise passé, Anne frémit de tout son corps et rejeta sa tête en arrière contre l’épaule de celui qui était en train de la pelotter sans vergogne… Ce dernier jeta un regard triomphant en direction de Pascal, complètement atterré sur sa chaise… Anne lui avait totalement échappé, elle était désormais leur chose.
Les deux danseurs savaient d’ores et déjà que la partie était gagnée pour eux… Le petit mari, malgré ses airs de dur à cuire ne bougerait pas d’un doigt pour venir tirer sa belle de leurs griffes, paralysé de stupeur et d’humiliation sur sa chaise.
Le gars qui était derrière Marie entrepris alors de lui dégager sans douceur la poitrine en faisant remonter d’un geste sec le tee-shirt et le soutien-gorge de fine dentelle noire qu’elle avait mis ce matin pour faire plaisir à son petit mari.
Le géant qui était plaqué contre son bassin en lui imprimant des ondulations obscènes pris un peu de recul pour contempler les deux lourds globes mammaires qui venaient d’être libérés des bonnets 95 d. Profitant de l’espace libéré son complice, toujours plaqué contre le dos de Marie, empauma sans ménagements les gros seins pour les pétrir vigoureusement, sentant sous ses doigts le ...
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