Seb, le joli trentenaire à la peau de roux est devenu un amant régulier… et plus encore. Je suis tombé raide dingue amoureux, et je peux le dire, dès la première fellation… au premier coup d’œil en langage gay.
Je lui avais donné mes coordonnées, et moins de 24 heures après il les avait déjà utilisées. Il m’avait envoyé un mail, que je n’ai vu que 48 heures plus tard, alors que déjà mon esprit était concentré sur lui en permanence.
Une semaine après nos ébats sylvestres nous nous sommes retrouvés, à son initiative, à Lyon pour prendre un café. J’étais estomaqué, je le dévorais des yeux. D’autant plus estomaqué que ce créneau d’âge ne me ressemblait pas du tout, mais j’avais une attirance pour lui immédiate, totale. Je sentais mon sexe dans mon pantalon s’affoler. Il était venu aussi pour me dévoiler tous les mensonges qu’il avait pu me déverser lors de notre première rencontre : âge, prénom, profession… enfin, tout quoi.
Mais bon, pas grave… c’est la loi du genre. Il faut aussi dire que nous étions chacun de notre côté en couple, moi depuis plusieurs décennies (c’est-à-dire des siècles en années gay), lui depuis trois ans.
Il s’est alors instauré entre nous une relation amoureuse, sexuelle et sensuelle. Elle a duré un an, six mois et une poignée de jours.
Il m’arrivait le matin tôt d’aller le chercher à la gare de sa ville pour le conduire à Lyon. Avec un arrêt indispensable sur une aire d’autoroute. Forcément je l’ai sucé, pompé et il en a fait de même. J’ai adoré ces matins qui commençait par cette pipe, qui me laissait savourer de longs moments après le goût de son sperme dans ma bouche. Cela a été aussi une découverte pour moi, sentir les longs jets de ses éjaculations au fond de ma bouche, j’ai adoré. J’avais souvent envie de ressentir ce moment si particulier ou la verge se gonfle avant de déverser par de longs jets cette semence espérée. J’ai adoré avaler son sperme.
Une fois au retour, alors que je le raccompagnais de Lyon à sa ville de destination, nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute réputée. J’ai garé ma voiture un peu à l’écart, et alors que nous échangions à l’extérieur l’idée m’est venu de le sucer, ici, là. Un routier était garé non loin et n’en n’a pas perdu une miette, moi je n’en n’ai perdu aucune goutte ! Cette situation nous avait sacrément émoustillés, pour ne pas dire gravement excités. L’idée de nous compromettre avec un beau routier venait de germer dans notre esprit, nos esprits.
Quelque temps plus tard l’occasion s’est présentée sur cette même aire d’autoroute. Nous étions là à deviser, nous tripoter, bref nous exciter mutuellement alors qu’un routier sorti de sa cabine rodait non loin de nous en ayant des gestes explicites (se toucher la bite). Comme un seul homme nous sommes partis à la charge de ce robuste routier, routier qui nous a bien volontiers invités dans sa cabine. Ce fut une orgie de sexe. Le routier me suçant, alors que Seb prenait soin de sa queue. Seb s’e ...
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